Le partant des Blue Jays, Chris Bassitt, montre ce qui lui permettra de gagner sa vie contre Astros

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Lorsque vous signez un contrat de 63 millions de dollars américains sur trois ans pour aider à transformer votre nouvelle équipe en un concurrent sérieux, les attentes sont à la hauteur.

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Lorsque votre première tentative de prouver que la valeur se traduit par une pire performance en carrière, eh bien, la pression monte.

Chris Bassitt a catégoriquement anéanti certaines de ces inquiétudes mardi soir à Houston, faisant de son quatrième départ avec les Blue Jays un formidable.

Le droitier a apporté son arsenal varié de huit terrains différents à Minute Maid Park, lançant 6,1 manches de blanchissage lors de la victoire 4-2 des Jays sur les champions de la Série mondiale.

Ce fut un mouvement solide et continu dans la bonne direction pour Bassitt, qui a accordé neuf points mérités lors de ces débuts malheureux des Jays à St. Louis, mais n’en a cédé que quatre combinés lors de ses trois derniers départs depuis.

Mieux encore, alors que les Jays égalisaient la série de trois matchs en début de semaine avec une victoire chacun, Bassitt était exactement comme prévu: un vétéran avisé dont le mélange de pitch est vexant et avec une capacité à induire un contact doux permet à la défense derrière lui de briller.

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La commande de Bassitt était forte dès le départ alors qu’il maintenait les frappeurs d’Astros hors d’équilibre. D’une courbe lente qui a atteint la boîte dans la plage de 71 à 73 mph à une balle rapide qui dépassait à 94, Bassitt a embrouillé les frappeurs d’Astros, lui permettant de rester à l’attaque.

C’était un résultat particulièrement important pour Bassitt, qui lors de quatre visites précédentes à Minute Maid avait été renversé à hauteur d’une MPM cumulée de 8,35. Cependant, il était bien meilleur dans un uniforme des Jays que dans un uniforme d’athlétisme, retirant les 11 premiers frappeurs qu’il a affrontés alors qu’il aidait son équipe à améliorer sa fiche de 11-7.

Bassitt n’a accordé que trois coups sûrs et en a retiré cinq alors que son ERA a bondi de 7,63 à 5,40. Bassitt a maintenant accordé quatre coups sûrs ou moins à ses trois derniers départs, n’en accordant que neuf combinés.

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Et dans l’ensemble, l’effort de qualité de Bassitt est venu à un moment significatif pour les Jays, qui avaient souffert de mauvais départs de Kevin Gausman et Alek Manoah dans une paire de défaites les deux jours précédents.

La rotation des Jays continue d’être un sujet de préoccupation, principalement en raison des fluctuations sauvages de la forme. Chacun des cinq dans la rotation a eu au moins un mauvais départ.

Mais au moins Bassitt, qui a été signé pour donner un énorme coup de pouce à une rotation qui avait besoin de plus de profondeur, semble avoir sa forme pointée dans la bonne direction. Les Jays ne peuvent pas se permettre de nombreuses autres nuits d’armes importantes dans la rotation qui s’illuminent et Bassitt a fait sa part.

CHAPMAN RESPONSABLE

Matt Chapman a toujours su qu’il était fort avec un cadre compact et puissant qui n’a pas besoin de faire grand-chose pour blesser une balle de baseball.

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Mais traduire cette puissance naturelle en production n’a pas toujours été facile pour le natif de Californie. Mais avec un swing remanié et plus compact conçu pour maximiser sa force, Chapman connaît le meilleur début offensif de sa carrière.

Son coup de circuit en quatrième manche était son deuxième en autant de matchs et son cinquième de la saison, et un doublé en sixième était son 14e coup sûr supplémentaire de la saison, le plus dans les ligues majeures. Chapman est entré dans le match de mardi en tête de l’AL en moyenne au bâton (.410) et en pourcentage de slugging (.738.)

HIT-PARADE

Les calculs racontent à quel point les difficultés de lancement du lancer avaient limité les Jays. Ils sont entrés dans la soirée avec 161 coups sûrs, un sommet dans la Ligue américaine, et en ont ajouté huit autres contre les Astros.

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Même avec cette production de plaques, le différentiel de course des Jays était un médiocre moins-7, une mise en accusation flagrante de certaines de ces luttes avec la rotation.

En revanche, les Rays sont entrés dans l’action de mardi avec 159 coups sûrs, mais affichent un différentiel de points positif de 75.

DE JUSTESSE

Après ce qui avait été un match dominant pendant la majeure partie de la nuit, l’enclos des Jays l’a rendu beaucoup plus intéressant que nécessaire alors que Yimi Garcia a accordé une paire de points au huitième, puis Tim Mayza est parti avec des coureurs aux premier et deuxième et deux retraits dans le huitième.

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Cela a incité le manager John Schneider à appeler tôt Jordan Romano, qui a provoqué un ballon volant de Jeremy Pena dans le champ droit pour mettre fin à la menace. Romano a autorisé un coureur dans le neuvième, mais s’est attaché à un arrêt de quatre retraits, sa ligue majeure menant septième de la saison.

AUTOUR DES BASES

Le pouvoir tant vanté de Vlad Guerrero Jr. avait disparu pendant 10 matchs, une rare séquence sans coup sûr supplémentaire. Cette panne a pris fin en quatrième lorsque le joueur de premier but des Jays a aligné son troisième circuit de la saison dans le champ droit pour ouvrir le score… Deux frappeurs plus tard, Chapman a déchiré le sien… Avec la victoire, les Jays ont créé l’opportunité d’une cinquième victoire consécutive en série mercredi lorsque Jose Berrios récupère le ballon dans le match en caoutchouc de ces trois joueurs.