Microsoft se prépare à lancer un nouveau service de poste de travail basé sur le cloud pour les développeurs, baptisé Microsoft Dev Box.
Le nouveau service géré permettra aux développeurs de créer une machine préconfigurée dans le cloud, sans avoir besoin de configurer un poste de travail physique.
Le nouveau service est en avant-première privée depuis le 24 mai, mais est désormais largement disponible en avant-première publique.
Boîte de développement Microsoft
Microsoft Dev Box prend en charge tout IDE, SDK ou outil de développeur qui s’exécute sur Windows, et permet aux développeurs de cibler n’importe quelle charge de travail de développement pouvant être créée sur Windows, y compris les applications de bureau, mobiles, IoT et Web.
De plus, Microsoft Dev Box permet aux utilisateurs de créer des applications multiplateformes à l’aide du sous-système Windows pour Linux et du sous-système Windows pour Android. Et les développeurs peuvent également utiliser des outils de bureau virtuel d’accès à distance pour exécuter des boîtes de développement à partir d’appareils exécutant des systèmes d’exploitation non Windows tels que macOS, Android, iOS ou un navigateur Web.
Les clients ont la possibilité de choisir entre 4 vCPU / 16 Go et 32 vCPU / 128 Go SKU, selon la taille des applications avec lesquelles ils travaillent.
À l’aide des groupes Azure Active Directory, les administrateurs informatiques peuvent également accorder l’accès au code source sensible et aux données client projet par projet, ce qui, selon Microsoft, éliminera le besoin d’expédier du matériel à des sous-traitants à court terme et contribuera à sécuriser le développement.
Microsoft n’a pas encore indiqué quand l’outil est configuré pour atteindre la disponibilité générale ou combien il coûtera finalement.
Cependant, pendant la période d’essai actuelle, les organisations bénéficieront gratuitement des 15 premières heures du SKU 8vCPU et 32 Go de mémoire chaque mois, ainsi que des 365 premières heures du SKU Storage SSD 512 Go.
Au-delà de cela, Microsoft affirme que les organisations ne paient que ce qu’elles utilisent avec un modèle de tarification basé sur la consommation.