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THE SANDMAN : FABLES AND RECOLLECTIONS est une compilation de bandes dessinées sur le personnage populaire de DC/Vertigo, le Sandman. Tous sont écrits par Neil Gaiman, mais les illustrations proviennent de divers artistes. Les neuf histoires incluses ont été initialement vendues sous forme de bandes dessinées individuelles dans les années 1990.
Les histoires varient selon les contextes, allant de l’âge d’or de Rome et de Bagdad jusqu’à nos jours. Le dénominateur commun à toutes les histoires est que le rêve a un rôle à jouer dans chacune d’elles.
Le fait que huit des neuf histoires étaient basées sur des faits historiques ajoute encore plus d’intérêt. Gene Wolfe, dans son introduction au livre, affirme qu’un lecteur apprendra plus d’informations historiques sur le premier et unique empereur des États-Unis en lisant « Trois septembre et un janvier ». Les seules histoires véritablement nées de l’imagination, sans aucun caractère de référence historique, sont « La Chasse » et « La Peur de la Chute ».
Dans « Fear of Falling », Dream aide un dramaturge et metteur en scène à faire face à sa peur pour réussir.
Dans « Trois septembre et janvier », Dream donne un rêve à un homme désespéré à cause d’un défi qui lui a été lancé par sa sœur Despair. Joshua Norton devient le premier et unique empereur des États-Unis. Cet homme a vraiment existé.
Dream aide un jeune homme de la forêt, qui se trouve également être un loup-garou, à rencontrer la femme de ses rêves dans « The Hunt ». Il réalise sagement que les deux n’ont rien en commun et il vit heureux pour toujours avec la fille loup-garou qu’il a rencontrée pendant le conte.
Dream est celui qui a besoin d’aide dans « Thermidor ». Il demande à Lady Johanna de l’aider à récupérer la tête de son fils. Cette histoire parle de Saint-Just et de Robspierre, tous deux importants pour la Révolution française.
Dans « Août », Dream aide Auguste à trouver un jour pour réfléchir sans l’examen minutieux des dieux. Le temps qu’il peut passer sans le regard attentif des dieux l’aide à faire face à ses sentiments de culpabilité et de haine envers son grand-oncle, Jules César.
Dans « Soft Places », Dream ne veut pas aider Marco Polo mais le fait parce que Polo a été si poli avec Dream.
Dream traite son fils comme le mortel qu’il est dans « Orphée ». Dream essaie de conseiller son fils dans son deuil, mais ne le traite pas différemment de ce qu’il ferait pour un non-membre de la famille.
Le « Parlement des Tours » est une histoire d’histoires. Le seul véritable lien entre Dream et lui était celui de son enfance. Quand lui et sa sœur Teleuth (la mort) étaient jeunes, ils n’avaient pas beaucoup de travail à faire. Comme le lecteur l’apprend dans l’histoire d’Abel, les jeunes sont petits parce que peu de gens rêvent ou meurent.
Dans « Ramadan », Dream donne une leçon précieuse au roi Haroun Al Raschid. Après avoir été invoqué, Dream donne au roi exactement ce qu’il dit vouloir… un royaume qui ne disparaîtra pas, conservé hermétiquement dans un bocal.
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