Le juge qui a libéré l’homme accusé plus tard dans la mort d’un agent de la Police provinciale de l’Ontario a pesé l’origine autochtone

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Un juge qui a accordé une libération sous caution à un homme accusé par la suite d’avoir tué un agent de la Police provinciale de l’Ontario a souligné ses origines autochtones et la surreprésentation d’Autochtones dans le système correctionnel lorsqu’il a décidé de libérer l’homme.

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Dans l’audio de l’enquête sur le cautionnement, obtenue par La Presse canadienne par l’intermédiaire des tribunaux, le juge Harrison Arrell dit qu’il comprenait les inquiétudes concernant le casier judiciaire violent de Randall McKenzie à l’époque, mais qu’il était obligé de prêter une attention particulière à son origine autochtone.

McKenzie était en liberté sous caution lorsqu’il aurait tué l’agent de la Police provinciale de l’Ontario. Greg Pierzchala fin décembre et il est l’une des deux personnes accusées de meurtre au premier degré dans la mort de l’officier.

Nous nous excusons, mais cette vidéo n’a pas pu se charger.

Arrell avait accordé à McKenzie une libération sous caution en juin sous des conditions strictes alors qu’il attendait son procès dans une affaire où il était accusé d’agression et d’un certain nombre d’accusations d’armes dans un incident impliquant la mère de son fils et son petit ami.

Les dossiers indiquent qu’un juge a émis un mandat d’arrêt contre McKenzie en août lorsqu’il ne s’est pas présenté à une date d’audience prévue.

Les juges sont tenus, lorsqu’ils prennent une décision sur le cautionnement et la détermination de la peine, de tenir compte de la situation particulière d’un Autochtone, comme les répercussions de la colonisation, y compris la séparation de la famille.

Bien qu’un accusé puisse demander une interdiction de publication dans le cadre d’une procédure de mise en liberté sous caution, les dossiers judiciaires et les enregistrements audio indiquent que McKenzie n’a pas demandé d’interdiction.

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