Le feu de l’intérieur de Carlos Castaneda est un roman sur les expériences du narrateur, un apprenti, avec le maître sorcier don Juan Matus. Le narrateur détaille sa formation finale avant le départ de son mentor. The Fire From Within est un récit intéressant de la connaissance que le narrateur acquiert de don Juan Matus.
Le narrateur a de nombreuses descriptions détaillées de son apprentissage avec le sorcier indien mexicain, don Juan Matus. Il apprend qu’il y a trois facettes de la connaissance d’un voyant : les maîtrises de la conscience, de la traque et de l’intention. Don Juan Matus commence à enseigner au narrateur la conscience, en commençant par la tradition des anciens voyants toltèques. Les voyants du nouveau cycle ne sont pas attrapés par la mort ; ils choisissent le moment de leur départ de ce monde et sont consumés par un feu de l’intérieur, s’évanouissant comme s’ils n’avaient jamais existé. Le narrateur se rend à Oaxaca où don Juan l’envoie dans un état de conscience accrue pour le préparer à l’exercice final qui est nécessaire avant que les guerriers soient considérés comme aptes à être seuls. Don Juan avertit le narrateur qu’il lui faudra des années pour se souvenir de ce qu’il a appris sur son côté gauche. Le narrateur découvre les petits tyrans après une rencontre avec la Gorda. Il apprend également les cinq attributs du guerrier et la différence entre le connu, l’inconnu et l’inconnaissable. Don Juan enseigne au narrateur à propos de l’Aigle, la source de tous les êtres sensibles ainsi que la raison de l’existence des êtres sensibles, pour améliorer la conscience.
Le narrateur devient fâché et triste face aux limites de son être car il ne peut pas se souvenir de ses leçons alors qu’il est en pleine conscience. Don Juan, don Genaro et le narrateur vont dans le cadre original où les voyants originaux vivaient il y a des milliers d’années, et don Juan enseigne les trois niveaux d’attention. Les gens s’approchent, avec l’intention de nuire. Don Juan conduit le narrateur à la maison de don Genaro tandis que don Genaro continue à marcher pour égarer les créatures étranges. Lorsque don Genaro revient, il ouvre la porte pour laisser entrer les créatures, mais le narrateur ne voit rien. Les trois voyants partent rapidement et se rendent chez don Juan. Lorsque le narrateur demande un exemple des pratiques des anciens Toltèques, don Juan lui demande de fabriquer un miroir et d’y appeler un allié au ruisseau. Le narrateur est mélancolique quand il se rend compte que les humains ne sont vraiment rien.
Don Juan enseigne au narrateur comment déplacer son point d’assemblage, et don Genaro force le point d’assemblage du narrateur à se déplacer plusieurs fois. Sur l’ordre de don Juan, le narrateur rencontre la Catalina sous une forme semblable à un ver, et le couple se défoule et joue dans un autre monde. Don Juan enseigne au narrateur les grandes bandes d’émanations et le corps qui rêve. Don Genaro montre au narrateur son corps de rêve qui fait crier le narrateur alors que don Genaro marche sur le plafond et les murs. Il y a une agitation étrange dans la maison parce que don Juan est sur le point de partir. Le narrateur entend parler de l’entraînement de don Juan avec le maître harceleur, le nagual Julian. Il apprend également le coup de pouce de la terre et le culbuteur. Don Juan et don Genaro entraînent le narrateur sur les collines pour rencontrer les anciens voyants qui ont défié la mort, et le narrateur affronte les créatures à cause d’une envie incontrôlable malgré sa peur intense.
Puisque don Juan a terminé ses explications, le narrateur doit maintenant déplacer son point d’assemblage sans aide et aligner une autre grande bande d’émanations. Premièrement, le narrateur voit, apprécie et désire adorer le moule de l’homme. Le narrateur assemble un autre monde, et lui et don Juan traversent une plaine déserte de dunes jaunes de soufre. Ensuite, il se déplace vers le monde noir. Don Juan insiste pour que le narrateur déplace son point d’assemblage directement vers le monde noir puisqu’il devra le faire dans plusieurs jours pour sauver sa vie, et le narrateur accomplit cet exploit. Le narrateur et deux autres apprentis, Pablito et Nestor, rencontrent don Juan, don Genaro et les autres membres du groupe du nagual sur une montagne. Les apprentis doivent avoir l’intention de déplacer leur point d’assemblage après avoir sauté de la falaise. Le narrateur, Pablito et Nestor sautent de la falaise, mais ils parviennent tous à déplacer leurs points d’assemblage pour assembler un autre monde et s’échapper. Il leur reste à se souvenir des enseignements de don Juan sur la conscience accrue et à essayer de rassembler les leçons qu’il leur a enseignées afin d’atteindre la liberté.