Le directeur d’Andor parle de ne pas être un fan de Star Wars et comment cela l’a aidé dans l’émission Disney +

Stellan Skarsgard and Diego Luna in Andor

La prochaine phase de Star Wars a été marquée par une série de hauts et de bas. Les choses ont pris un départ incroyable lorsque JJ Abrams a relancé la franchise cinématographique à travers Star Wars : Le Réveil de la Force – qui atterrit après le Retour du Jedi pour ceux qui cherchent à regarder tous les Films Star Wars dans l’ordre. Puis Rian Johnson a lancé une grenade à main métaphorique dans le fandom avec son diviseur Star Wars : Les Derniers Jedi, et la saga a trouvé sa voie depuis. Star Wars a en fait rencontré beaucoup de succès récemment grâce à des émissions de télévision, accessibles à toute personne ayant un abonnement Disney+. Spectacles comme Le Mandalorien et Andor ont ouvert de nouveaux coins de leur univers Star Wars, et un Andor le réalisateur pense savoir pourquoi ces programmes touchent leur cible avec un public passionné.

Benjamin Caron a réalisé quelques épisodes clés de Andory compris la finale captivante de la saison (qui, nous a-t-il dit, était censée présenter la première bombe F de l’histoire de Star Wars). Andor a été célébré par les fans de Star Wars pour s’être le plus rapproché de la capture du ton et de l’intention de Star Wars : Un nouvel espoir et le travail de George Lucas sur la trilogie originale. Ce qui est ironique car Caron a dit le podcast ReelBlend qu’il a pris le concert alors qu’il n’était pas le plus grand fan de Star Wars sur la planète. Mais dans son esprit, cela l’a aidé dans son approche de la matière. Il nous a dit:

Je le fais, personnellement, parce que c’est ma façon d’y arriver. L’exemple que je pourrais donner est qu’il y a un monde dans lequel vous arrivez sur le plateau de tournage de Star Wars et vous vous dites : ‘Whoa, regardez ces créatures !’ Ou, ‘Whoa, regarde ce bâtiment!’ Ou, ‘Whoa, regarde ce vaisseau spatial!’ J’étais comme, ‘Meh’ [laughs] Non, ce n’est pas tout à fait vrai, certaines des créatures étaient plutôt cool, mais il n’y a pas comme une sorte de sous-tempête où je vais aller fétichiser ces créatures. Ils ne sont qu’une partie du magnifique paysage qui existe. Si on était ailleurs, si on était dans un western, ce sont juste les gens qui coexistent en marge. Et donc je suppose… pour moi, ça faisait partie du monde, ils existent, si vous les voyez, vous les voyez, si vous ne les voyez pas, vous ne les voyez pas. Mais mon principe directeur est que je vais me concentrer sur les personnages et les suivre comme une flèche autant que possible.

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