Norma Torres, représentante démocrate de Californie, a exprimé des inquiétudes sur la responsabilité de Donald Trump dans la collision aérienne au-dessus de Washington, survenue peu après son entrée en fonction. Elle a lié cette tragédie, qui a causé 67 morts, au gel des recrutements fédéraux. Un responsable de la Maison Blanche a contesté ces affirmations, soulignant l’absence de preuves. Alors que l’enquête se poursuit, la sécurité aérienne et les décisions gouvernementales demeurent des sujets de préoccupation.
La Déclaration de Norma Torres sur la Collision Aérienne
La représentante démocrate de Californie, Norma Torres, a récemment exprimé des préoccupations concernant la responsabilité du président Donald Trump dans la tragédie aérienne survenue à l’aéroport national Ronald Reagan de Washington. Bien que Trump soit en fonction depuis seulement une semaine, Torres a utilisé les réseaux sociaux pour souligner ce qu’elle considère comme une connexion entre les actions du président et cette collision mortelle.
Réactions et Conséquences de la Collision
Dans ses tweets, Torres a évoqué le gel des recrutements fédéraux et le licenciement de plusieurs dirigeants d’agences comme des facteurs potentiellement contributifs à la catastrophe. Un responsable de la Maison Blanche a cependant rapidement contesté ces allégations, affirmant qu’il n’existe aucune preuve que les décisions de Trump aient eu un impact sur l’accident. De plus, il a précisé que les contrôleurs aériens avaient été exemptés de ce gel des recrutements.
La tragédie, impliquant une collision entre un vol American Airlines et un hélicoptère Blackhawk, a fait 67 victimes, marquant ainsi la pire catastrophe aérienne sur le sol américain depuis 2009. Torres a réagi à l’incident en partageant des messages de condoléances et en appelant à des réponses pour les familles touchées.
Malgré le climat politique tendu, certains législateurs, comme le représentant Don Beyer, ont appelé à l’unité pour faire face à cette tragédie, soulignant que la sécurité des citoyens devrait primer sur les différends politiques. Alors que l’enquête se poursuit, les questions sur la sécurité aérienne et les décisions gouvernementales restent au cœur des préoccupations de nombreux responsables.