Le club de minuit n’aura pas d’autre réunion. Annulée par Netflix début décembre, l’incursion à la fois chaleureuse et effrayante du maître de l’horreur Mike Flanagan dans l’horreur YA était également son premier coup de couteau dans une série télévisée à durée indéterminée, et ne s’est donc pas terminée aussi bien que ses autres séries limitées comme Messe de minuit ou La hantise de Hill House. Puisqu’il est peu probable que Le club de minuit pour être renouvelé ou récupéré ailleurs grâce à Flanagan jumping ship pour faire des émissions pour Amazon, l’écrivain / réalisateur a fait quelque chose d’inhabituel et a juste dit aux fans comment lui et les autres écrivains prévoyaient d’y mettre fin.
Dans un long article sur Tumblr, Flanagan a décrit la saison 2 de Le club de minuit aurait ressemblé. Le premier grand changement aurait été structurel : alors que la plupart des épisodes étaient centrés sur un acteur partageant une histoire effrayante basée sur un roman de Christopher Pike, les cinq premiers épisodes auraient eu le protagoniste Ilonka (Iman Benson) racontant une version de Souviens-toi de moi, le roman Pike préféré de Flanagan, à travers cinq épisodes. Il s’agit d’une fille qui est poussée d’un balcon et tente ensuite de résoudre son propre meurtre en tant que fantôme – avec quelques rebondissements sur la façon dont cela se rapporte à ce que le casting a à faire à la fin de la saison 1.
Un fil conducteur récurrent dans le plan de Flanagan pour la saison est que presque chaque image ou motif effrayant introduit dans la première saison a une histoire douce-amère et sincère derrière elle. Cela convient à une émission sur des adolescents en phase terminale vivant ensemble et acceptant leur destin via des histoires effrayantes. Dans Le club de minuitcomme pour une grande partie du travail de Flanagans, la peur n’est qu’un obstacle sur le chemin des personnages qui découvrent quelque chose d’humain et de beau.
Si vous avez vu tout le spectacle, jetez un coup d’œil aux grandes lignes. Ce n’est pas l’adieu que le spectacle méritait, mais c’est bien d’en avoir un sous n’importe quelle forme.