Le coût de la formation de disciple par Dietrich Bonhoeffer


L’un des théologiens les plus importants du vingtième siècle éclaire la relation entre nous-mêmes et les enseignements de Jésus dans ce texte classique sur l’éthique, l’humanisme et le devoir civique.

Que peut signifier aujourd’hui l’appel au discipulat, l’adhésion à la parole de Jésus pour l’homme d’affaires, le soldat, l’ouvrier ou l’aristocrate ? Que voulait nous dire Jésus ?

L’un des théologiens les plus importants du vingtième siècle éclaire la relation entre nous-mêmes et les enseignements de Jésus dans ce texte classique sur l’éthique, l’humanisme et le devoir civique.

Que peut signifier aujourd’hui l’appel au discipulat, l’adhésion à la parole de Jésus pour l’homme d’affaires, le soldat, l’ouvrier ou l’aristocrate ? Que voulait nous dire Jésus ? Quelle est sa volonté pour nous aujourd’hui ? S’appuyant sur le Sermon sur la montagne, Dietrich Bonhoeffer répond à ces questions intemporelles en proposant une lecture fondamentale de la dichotomie entre « grâce bon marché » et « grâce coûteuse ». « La grâce bon marché », a écrit Bonhoeffer, « est la grâce que nous nous accordons… la grâce sans être disciple… La grâce coûteuse est l’évangile qui doit être recherché encore et encore, la fille qui doit être demandée, la porte à qu’un homme doit savoir… Cela coûte cher parce que cela coûte la vie à un homme, et c’est une grâce parce qu’elle donne à un homme la seule vraie vie. »

Le coût de la formation de disciple est une déclaration convaincante des exigences de sacrifice et de cohérence éthique d’un homme dont la vie et la pensée étaient des articulations exemplaires d’un nouveau type de leadership inspiré par l’Évangile et imprégné de l’esprit de l’humanisme chrétien et d’un sens créatif du devoir civique.



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