Le « Convoi de la Liberté » n’a pas été informé de l’injonction de la ville, selon le tribunal

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OTTAWA — Les preuves recueillies lors du procès de deux organisateurs du « Convoi de la liberté » suggèrent que le personnel municipal n’a pas informé les organisateurs de la manifestation ni leurs avocats de leur intention de déposer une injonction judiciaire contre les manifestants.

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Serge Arpin, chef de cabinet de l’ancien maire Jim Watson, est à la barre des témoins dans le procès criminel de Tamara Lich et Chris Barber.

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Arpin dit qu’il envoyait des SMS avec l’avocat de Freedom Convoy, Keith Wilson, les 14 et 15 février de l’année dernière, dans le cadre d’un accord visant à déplacer les camions des quartiers résidentiels vers les rues le long de la Colline du Parlement.

Le 15 février, Wilson a demandé si les informations des médias selon lesquelles la ville avait obtenu une injonction contre les manifestants étaient vraies, et a déclaré que cela pourrait modifier les termes de leur accord.

Arpin a témoigné qu’il était au courant de la demande d’injonction imminente, mais qu’il n’en a parlé à Wilson qu’après qu’elle ait été accordée par un juge.

Les avocats représentant les organisateurs du convoi n’ont pas eu à l’époque la possibilité de s’opposer à la demande devant le tribunal.

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