Les présidents et les premiers ministres du monde entier expriment leur soutien aux personnes touchées par la fusillade de samedi, qui a tué un passant et laissé deux autres spectateurs grièvement blessés
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Les dirigeants et les gouvernements du monde entier ont réagi avec stupeur à la blessure de Donald Trump lors d’une tentative d’assassinat contre l’ancien président américain lors d’un rassemblement électoral.
Les présidents et les premiers ministres du monde entier se sont prononcés contre la violence politique et ont exprimé leur soutien aux personnes touchées par la fusillade de samedi, qui a tué un passant et laissé deux autres spectateurs grièvement blessés.
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L’Europe
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’est déclarée « profondément choquée » par l’attaque.
« La violence politique n’a pas sa place dans une démocratie », a-t-elle déclaré.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a qualifié la fusillade de « méprisable » et a déclaré que « de tels actes de violence menacent la démocratie ».
En France voisine, le président Emmanuel Macron a qualifié cet assassinat de « tragédie pour nos démocraties ».
« La France partage le choc et l’indignation du peuple américain », a déclaré Macron.
La Russie a fermement condamné toute violence dans le contexte politique, a déclaré dimanche le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
« Après de nombreuses tentatives pour éliminer le candidat Trump de l’arène politique en utilisant d’abord tous les outils légaux – tribunaux, procureurs, tentatives de discrédit politique – il est évident pour tous les observateurs extérieurs que sa vie est en danger », a déclaré M. Peskov, ajoutant cependant que « nous ne croyons pas du tout que cette tentative ait été organisée par le pouvoir actuel ».
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Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré qu’il était « consterné d’apprendre la fusillade » et a souhaité à Trump un « prompt rétablissement ».
« Une telle violence n’a aucune justification et n’a sa place nulle part dans le monde. La violence ne devrait jamais prévaloir », a-t-il déclaré.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est dit confiant « que l’enquête sur l’attaque sera menée de la manière la plus efficace et que les auteurs et leurs instigateurs seront traduits en justice dès que possible afin de ne pas jeter une ombre sur les élections américaines et la stabilité mondiale ».
Le Vatican a dénoncé dimanche cette tentative d’assassinat, exprimant son inquiétude face à une telle attaque contre la démocratie.
« Le Saint-Siège exprime sa préoccupation suite à l’épisode violent d’hier qui porte atteinte aux personnes et à la démocratie, provoquant souffrances et mort », a déclaré le Vatican dans un communiqué.
Amériques
Le président argentin Javier Milei a accusé la « gauche internationale » après la tentative d’assassinat.
« Dans la panique de perdre les élections, ils ont recours au terrorisme pour imposer leur programme rétrograde et autoritaire », a déclaré le président populiste.
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Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a déclaré que la fusillade « doit être fermement condamnée par tous les défenseurs de la démocratie et du dialogue politique ».
Le président chilien Gabriel Boric a exprimé sa « condamnation sans réserve » de la fusillade.
« La violence est une menace pour les démocraties et fragilise notre vivre ensemble. Nous devons tous la rejeter », a déclaré Boric.
La Colombie a exprimé sa « solidarité avec les États-Unis dans ce moment difficile ». « En tant que pays qui a souffert de la violence, nous réaffirmons qu’elle n’a pas sa place dans le débat politique et électoral », a déclaré le gouvernement.
En Bolivie, le président Luis Arce a déclaré que « malgré nos profondes divergences idéologiques et politiques, la violence, d’où qu’elle vienne, doit toujours être rejetée par tous ». Le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador a condamné la fusillade, affirmant que « la violence est irrationnelle et inhumaine ».
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau s’est dit « écoeuré » par l’attaque.
« On ne saurait trop insister sur le fait que la violence politique n’est jamais acceptable. Mes pensées vont à l’ancien président Trump, aux personnes présentes à l’événement et à tous les Américains », a déclaré Trudeau.
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Asie-Pacifique
Le président chinois Xi Jinping a exprimé sa « compassion et sa sympathie » envers Trump, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères affirmant que Pékin « suivait de près » l’incident.
Le Premier ministre indien Narendra Modi s’est dit « profondément préoccupé par l’attaque contre mon ami ». « La violence n’a pas sa place en politique et dans les démocraties », a-t-il déclaré.
Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a également dénoncé les attaques politiques, affirmant que « nous devons rester fermes face à toute forme de violence qui remet en cause la démocratie ». Le président taïwanais Lai Ching-te a présenté ses « sincères condoléances » aux victimes de la fusillade.
« La violence politique sous quelque forme que ce soit n’est jamais acceptable dans nos démocraties », a-t-il déclaré.
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Le président philippin Ferdinand Marcos a déclaré qu’il était « très soulagé » que « Trump se porte bien après la tentative d’assassinat ».
« Avec tous les peuples épris de démocratie à travers le monde, nous condamnons toutes les formes de violence politique. La voix du peuple doit toujours rester primordiale », a déclaré Marcos.
Depuis le Pakistan, l’ancien Premier ministre emprisonné Imran Khan a « fermement » condamné l’attaque, déclarant : « La violence politique est un outil de lâches et n’a pas sa place dans une démocratie. »
Moyen-Orient
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré que lui et sa femme Sara étaient « choqués par l’attaque apparente contre le président Trump ».
« Nous prions pour sa sécurité et son prompt rétablissement », a déclaré Netanyahu.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a qualifié la fusillade d’« incident traître ». Il a souhaité que les campagnes électorales américaines « se poursuivent dans une atmosphère pacifique et saine, exempte de toute manifestation de terrorisme, de violence ou de haine ».
Le ministère des Affaires étrangères du Qatar a déclaré que, quels que soient les motifs de l’attaque, il soulignait « la nécessité d’adopter le dialogue et les moyens pacifiques et d’éviter la violence politique et la haine pour résoudre les conflits à tous les niveaux ».
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