Le Chien des Baskerville d’Arthur Conan Doyle


« Vraiment, Watson, vous vous surpassez », a déclaré Holmes en repoussant sa chaise et en allumant une cigarette. « Je suis obligé de dire que dans tous les récits que vous avez eu la bonté de donner de mes propres petites réalisations, vous avez habituellement sous-estimé vos propres capacités. Il se peut que vous ne soyez pas vous-même lumineux, mais vous êtes un conducteur de lumière … Certaines personnes sans génie ont un pouvoir remarquable de le stimuler. J’avoue, mon cher, que je vous suis très redevable.

« Holmes, tu es un salaud condescendant »

Eh bien, Watson n’a jamais dit cela, bien que je puisse imaginer l’interprétation par Martin Freeman de Watson sur Sherlock en train de le dire ou quelque chose de similaire.

Car Holmes est en effet un bâtard condescendant, et Watson est bien trop tolérant. Le Chien des Baskerville est probablement le seul livre de Sherlock Holmes qui peut se tenir indépendamment en dehors du reste du canon Holmes. Souvent, les gens ne le voient pas toujours comme un « livre de Sherlock Holmes », mais comme un roman passionnant et effrayant en soi, quel que soit le héros.

Dans cette aventure la plus célèbre, Sherlock Holmes est sollicité par Sir Henry Baskervilles, l’actuel héritier du riche domaine Baskervilles, pour enquêter sur la mort mystérieuse de son oncle Sir Charles Baskervilles, apparemment mort de peur. Plus important encore, la propre vie de Sir Henry est menacée par la même agence peut-être surnaturelle.

Sherlock est tout « Tu n’es rien d’autre qu’un chien de chasse
pleurer tout le temps », faisant tournoyer ses hanches comme une icône pop démente, accompagné de son violon bien sûr.*

Arthur Conan Doyle s’est vraiment surpassé avec Le Chien des Baskerville, j’ai lu pas mal de ses livres et celui-ci est le plus superbement conçu ; de la configuration mystifiante, le « hareng rouge », la silhouette sombre qui parvient à échapper même à Holmes à plusieurs reprises et le point culminant horrible. J’adore le business du bâton de marche dans le premier chapitre et les bottes volées. Watson fait beaucoup de détectives dans celui-ci pendant que Holmes est apparemment absent. Il y a trois chapitres substantiels de l’aventure solo de Watson, bravo, doc ! Watson n’est clairement pas idiot et il ne s’embarrasse à aucun moment, malgré les efforts de Holmes.

Il y a des éléments problématiques dans ce livre. Les personnages féminins sont tous inutiles et même nuisibles par leur manque d’agence. L’intrigue secondaire avec le condamné meurtrier évadé est un peu louche. (voir spoiler) Pourtant, le point culminant est définitivement excitant, et Holmes découvre « qui a laissé sortir le chien » presque trop tard, mais alors avec « presque » étant le mot clé, tout va bien.

Le Chien des Baskerville c’est bien sûr des trucs formidables, mais – honnêtement – ​​qui ne l’a pas lu ou n’a pas vu une sorte d’adaptation ? C’est élémentaire.

ligne de chiens
* C’est dans le livre, je l’ai écrit avec un Sharpie.
Remarques:
• Crédit de livre audio : principalement lu Le livre audio de Librivox format, magnifiquement narré – gratis ! – par David Clarke. Merci!

Devis:
« Intéressant, quoique élémentaire, dit-il en retournant dans son coin préféré du canapé. Il y a certainement une ou deux indications sur le bâton. Cela nous donne la base de plusieurs déductions.
Yay! Il a dit La Parole ! (^▽^)/

« Je crains, mon cher Watson, que la plupart de vos conclusions soient erronées. Quand j’ai dit que vous m’aviez stimulé, je voulais dire, pour être franc, qu’en notant vos erreurs, j’étais parfois guidé vers la vérité.
Pauvre Jean ! Larguez-le pour Poirot ! (bien qu’il aurait besoin d’une machine à remonter le temps pour cela).

« Auriez-vous une objection à ce que je passe mon doigt le long de votre fissure pariétale ? Un moulage de votre crâne, monsieur, jusqu’à ce que l’original soit disponible, serait un ornement pour n’importe quel musée anthropologique.
MDR! C’est de la merde perverse du Dr Mortimer, le copain de Sir Henry.

Photos:

Favori version cinématographique de 1959, Christopher Lee en tant que malheureux (pas hourra) Henry !


L’excellente couverture de Big Finish pour leur adaptation théâtralisée de livres audio.


Art impressionnant par Matthieu Stewart[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>



Source link