Le Canada espère se positionner comme futur chef de file des lancements spatiaux

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LONGUEUIL, Qué. — Le Canada espère capitaliser sur sa vaste expertise géographique et spatiale pour se positionner comme le prochain acteur mondial des lancements spatiaux commerciaux.

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Le ministre des Transports, Omar Alghabra, a annoncé aujourd’hui que le gouvernement fédéral élaborera les exigences réglementaires, les normes de sécurité et les conditions de licence nécessaires pour autoriser les lancements commerciaux de satellites spatiaux depuis le Canada au cours des trois prochaines années.

Il a déclaré aux journalistes au siège de l’Agence spatiale canadienne à Longueuil, au Québec, que le pays était également prêt à approuver les lancements dans la période intérimaire au cas par cas, et il a invité les entreprises privées à proposer des projets.

Le député de la région de Montréal et ancien astronaute Marc Garneau a déclaré que le Canada possédait un certain nombre d’avantages géographiques en ce qui concerne les emplacements de lancement de satellites, notamment un vaste territoire peu peuplé et un large éventail de possibilités d’orbites à forte inclinaison.

Il a dit que bien que le Canada ait déjà lancé des fusées suborbitales – qui montent dans l’espace et retombent – ​​il n’a pas encore lancé de vol spatial orbital.

Alghabra dit qu’un certain nombre d’entreprises ont exprimé leur intérêt pour le lancement depuis le Canada, y compris Maritime Launch, qui prévoit de construire le premier port spatial du pays dans le nord-est de la Nouvelle-Écosse.

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