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Il semble que Canadian Soccer Business et Mediapro aient résolu leurs différends en matière de diffusion.
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Les deux partenaires ont comparu devant le tribunal en janvier, tous deux voulant renoncer à un accord de 10 ans conclu en 2019, affirmant que l’autre n’avait pas respecté l’accord. Et tous deux voulaient que l’autre paie pour cela.
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Canadian Soccer Business, dont le groupe d’investisseurs et le conseil d’administration comprennent les propriétaires de la Première Ligue canadienne, s’occupe des droits de marketing et de diffusion à la fois pour la CPL, qui entame sa sixième saison, et pour Canada Soccer.
Mediapro est le partenaire média du CSB basé à Barcelone, une entité mondiale qui produit du contenu pour 16 ligues de football à travers le monde avec des matchs canadiens diffusés sur OneSoccer.
Mardi, OneSoccer a signalé une nouvelle suggérant une percée via un tweet annonçant son « Pass de saison 2024 », offrant un « accès exclusif » à la saison 2024 de la Première Ligue canadienne, au Championnat canadien et à l’action internationale canadienne.
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Mercredi, Canadian Soccer Business a publié une courte déclaration affirmant que Mediapro et Canadian Soccer Business « sont sur une voie positive vers la résolution de nos différends et espèrent parvenir à un accord finalisé dans un avenir proche ».
« OneSoccer restera le siège du soccer canadien… Mediapro et Canadian Soccer Business maintiennent notre engagement à soutenir la croissance du soccer au Canada et communiqueront plus de détails sur notre accord finalisé dès qu’ils seront disponibles. »
On est loin de la position combative adoptée par les deux parties en janvier.
Dans un avis d’action de cinq pages soumis à la Cour supérieure de justice de l’Ontario, CSB a allégué que Mediapro avait renoncé à ses paiements et « répudié à tort » son accord portant sur les droits médiatiques et la production, la diffusion et la distribution.
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Dans une déclaration de 32 pages, Mediapro a allégué que CSB n’avait pas tenu ses promesses, affirmant qu’à mi-chemin de l’accord, CSB avait livré un peu plus du quart du nombre de matchs requis (un minimum garanti de 2 042 matchs de CPL et de Championnat canadien). d’ici 2028). Et cela la ligue, qui compte actuellement huit clubs. avait promis de passer à 10 équipes d’ici 2020 et à 16 équipes d’ici 2024.
Mediapro réclamait des dommages et intérêts d’au moins 50 millions de dollars, des frais de justice et une déclaration selon laquelle il était en droit de mettre fin à l’accord.
Dans son dossier, Canadian Soccer Business a allégué que Mediapro n’avait pas satisfait à ses exigences, notamment en omettant de respecter un accord de sous-licence pour la diffusion télévisuelle linéaire qui exposerait son contenu à un plus grand public via le câble.
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