L’avant-dernier péril


L’avant-dernier péril est le douzième tome de la série de treize tomes Série d’événements malheureux. Dans ce livre, les orphelins Baudelaire sont envoyés travailler à l’hôtel Denouement pour découvrir lesquels des invités travaillent pour le VFD et lesquels travaillent contre eux.

Ce roman reprend exactement là où le onzième livre s’est arrêté, avec les orphelins Baudelaire à l’arrière d’un taxi conduit par une inconnue enceinte. Cette femme, Kit Snicket, prétend avoir travaillé avec les parents décédés des Baudelaires et envoie les enfants dans leur première mission pour le VFD en travaillant comme concierges à l’Hôtel Denouement pour découvrir quels invités travaillent pour le VFD et contre lesquels ils travaillent. l’organisation. Ils veulent également découvrir la véritable identité du mystérieux JS et découvrir l’emplacement du sucrier, un artefact très précieux pour le VFD et ses ennemis. Tous les membres du VFD devraient arriver à l’hôtel Denouement d’ici jeudi pour une réunion très importante et les Baudelaires sont envoyés pour s’assurer que l’hôtel reste un lieu de rencontre sûr. Dans le cas contraire, ils doivent envoyer une pancarte à l’organisation indiquant que leur dernier endroit sûr n’est plus en sécurité.

Pour compliquer encore les choses, les Baudelaires travailleront avec les directeurs de l’hôtel, les vrais jumeaux Frank et Ernest Denouement. Un jumeau est mauvais et l’autre est bon, mais personne ne peut dire lequel est lequel. Il est essentiel que les enfants gardent leur identité secrète, de peur qu’ils ne risquent de révéler leur localisation aux ennemis, notamment au comte Olaf, qui les poursuit avec acharnement. Lors de leur premier jour à l’hôtel, les Baudelaires sont submergés par le nombre de méchants qu’ils voient, y compris divers méchants des livres précédents de la série. Partout où ils vont, les enfants prennent de nombreuses notes pour tenter de découvrir à qui d’entre eux on peut faire confiance. L’hôtel parvient également à envoyer les enfants faire des courses étranges – qui peuvent être au profit du VFD et peut-être au profit de leurs ennemis – notamment remettre du papier collant pour oiseaux sur le toit et verrouiller une porte à fermeture vernaculaire dans la buanderie.

Lors de leur deuxième jour à l’hôtel, un troisième manager est révélé : Dewey Denouement, le troisième triplet de Denouement. Dewey a organisé toutes les informations du VFD sur les méchants et il prévoit de présenter ces informations lors du prochain procès, ce qui est la véritable nature de la réunion de jeudi. Lorsque le comte Olaf apparaît soudainement, il menace Dewey avec un fusil-harpon, exigeant le code pour déverrouiller la porte vernaculairement fermée, où il est sûr que le sucrier est tenu. Dans leur tentative de sauver Dewey, les enfants Baudelaire tirent accidentellement avec le fusil-harpon d’Olaf et Dewey est mortellement blessé. Les Baudelaires sont jugés pour meurtre le lendemain matin, mais le procès ne peut se terminer car le comte Olaf kidnappe le juge pour l’utiliser comme otage pour exiger que la porte vernaculairement fermée soit ouverte. Dans la buanderie, les enfants Baudelaire décident de façon inattendue d’aider le comte Olaf à s’échapper de l’hôtel car ils savent qu’il ne trouvera pas le sucrier et qu’ils pourront s’échapper à côté de lui et Sunny met le feu à l’hôtel Denouement comme un signez au VFD que le bâtiment n’est plus sûr pour leur réunion de jeudi. A la fin du roman, les enfants se retrouvent à la dérive dans un bateau aux côtés de leur ennemi juré, le comte Olaf.



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