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Il s’ouvre sur ces mots simples et résonnants : « Dix jours après la fin de la guerre, ma sœur a conduit une voiture du pont. Ils sont prononcés par Iris, dont le récit laconique de la mort de sa sœur Laura en 1945 est suivi d’un rapport d’enquête proclamant la mort accidentelle. Mais tout comme le lecteur s’attend à s’installer dans l’histoire de Laura, Atwood présente un roman-dans-un-roman. Intitulé L’assassin aveugle, c’est une histoire de science-fiction racontée par deux amants anonymes qui se rencontrent dans des pièces de ruelle miteuses. Lorsque nous revenons à Iris, c’est à travers un article de journal de 1947 annonçant la découverte d’un voilier transportant le cadavre de son mari, un industriel distingué.
Au cours des vingt-cinq dernières années, Margaret Atwood a écrit des œuvres d’une originalité et d’une imagination saisissantes. Dans L’assassin aveugle, elle repousse les limites de ses réalisations comme jamais auparavant, créant un roman divertissant et profondément sérieux. L’assassin aveugle prouve une fois de plus qu’Atwood est l’un des écrivains les plus talentueux, audacieux et passionnants de notre temps. Comme Le conte de la servante, il est destiné à devenir un classique.
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