L’asile des filles victoriennes capricieuses par Emilie Autumn


Deux jeunes femmes, à des siècles d’intervalle, toutes deux accusées de folie, communiquent à travers le temps pour combattre un ennemi commun… leurs médecins.

« C’est le chien qui m’a trouvé.

Telle est la confession brutale qui lance la scène déchirante qui commence The Asylum for Wayward Victorian Girls comme Emilie Autumn, une jeune musicienne au bord d’une brillante carrière, tente de se suicider par overdose sur th

Deux jeunes femmes, à des siècles d’intervalle, toutes deux accusées de folie, communiquent à travers le temps pour combattre un ennemi commun… leurs médecins.

« C’est le chien qui m’a trouvé.

Telle est la confession crue qui lance la scène déchirante qui commence The Asylum for Wayward Victorian Girls alors qu’Emilie Autumn, une jeune musicienne au bord d’une brillante carrière, tente de se suicider en prenant une overdose d’antipsychotiques prescrits pour traiter son trouble bipolaire. Après avoir été découverte, Emilie est réanimée et immédiatement incarcérée dans un service psychiatrique à sécurité maximale, malgré ses protestations selon lesquelles elle n’est pas folle et peut fournir des raisons valables de ses actions si quelqu’un l’écoutait.

Traitée comme une criminelle, fortement médicamentée et privée de toutes libertés, Emilie se voit refuser toute communication avec le monde extérieur et devient la proie des attentions importunes du Dr Sharp, chef du service de psychiatrie de l’hôpital. Alors que le Dr Sharp devient de plus en plus prédateur de jour en jour, Emilie commence un journal secret pour documenter son expérience terrifiante et pour maintenir sa raison dans cet environnement qui pourrait sûrement rendre fou n’importe qui. Mais quand Emilie ouvre son cahier pour trouver une lettre désespérée d’une jeune femme emprisonnée dans un asile d’aliénés en Angleterre victorienne, et portant son propre nom et description, un portail vers un autre monde est grand ouvert.

Alors que ces lettres du passé continuent d’apparaître, Emilie s’échappe davantage dans cette mystérieuse réalité alternative où se forment des fraternités, une romance entre détenues s’épanouit, du papier peint à rayures se tord de fantômes et des rats très intellectuels parlent l’anglais de la reine.

Mais est-ce réel ? Ou Emilie est-elle vraiment aussi folle qu’on lui dit sans cesse qu’elle l’est ?

The Asylum for Wayward Victorian Girls brouille la dure réalité et la fantaisie historique magique tout en publiant une critique cinglante du traitement des femmes par la société et du traitement de ses patients par l’industrie des soins de santé mentale, montrant ainsi que peu de choses ont changé à travers les âges.

Bienvenue à l’asile. Êtes-vous engagé?



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