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Qu’est-ce que le Golden As
Qu’est-ce que The Golden Ass n’a pas ?
À ce stade, je devrais probablement comparer Le cul d’or à la brutalité montrée dans Game of Thrones, seulement il s’agit beaucoup moins de manœuvres politiques et de complots machiavéliques, mais ils ne sont tout de même pas pour les âmes sensibles. Le cul d’or est l’un des premiers, ou les d’abord, des histoires de transformation d’humain à animal qui vont dans le même sens que celles de Disney Frère Ours et La nouvelle routine de l’empereur.
Avec tous les coups que Lucius a reçus en tant qu’esclave impuissant sous forme d’âne, portant des charges trop lourdes pour sa forme à quatre pattes, ayant sa fourrure en feu, n’a jamais permis de se reposer quand il en a le plus besoin et forcé de continuer ou d’avoir ses pieds attachés ensemble pour être jetés d’une falaise – parce que c’est ce qu’ils ont fait aux animaux boiteux – j’ai l’impression que je dois faire un don à Le sanctuaire des ânes.
Pour un roman vieux de 1 900 ans, on se rend compte que rien n’a vraiment changé à cette époque, socialement parlant.
Les scènes de sexe sont étonnamment bonnes. Il n’y a pas d’hésitation. Pas de sexualité refoulée. Aucun problème d’estime de soi. Et toutes sortes de positions sont tentées.
« La seule caractéristique rédemptrice de cette transformation catastrophique était que ma dotation naturelle avait également augmenté. »
Homme typique. Transformé en âne et il est impressionné par l’augmentation de la taille de sa virilité.
Crier « AU FEU ! lorsqu’ils sont cambriolés et ont besoin d’aide :
« Puis, le laissant là fatalement crucifié, il monta sur le toit de sa masure et cria à tue-tête d’appeler les voisins ; appelant chacun par son nom, il révéla que sa maison avait soudainement pris feu, leur rappelant que cela impliquait la sécurité de tous. Alors tout le monde, effrayé par le danger à côté, est venu en courant pour aider.
Eh bien, c’est prouvé. Les jeux vidéo ne rendent pas les enfants violents, un manquer de des jeux vidéo fait. L’imagination est une chose dangereuse. Autant de manières inventives de torturer et de tuer, d’humilier et de dégrader. Le diable fait travailler les mains oisives, comme on dit. Alors, parents, fourrez rapidement une manette Playstation dans les mains de votre tout-petit avant qu’il ne se tourne vers des actes ignobles.
Certains aspects de Le cul d’or vraiment vous faire réfléchir à des questions litigieuses.
Comment définir la bestialité ? Lucius est un homme transformé en âne. Quand on lui propose de choisir ses chevaux avec lesquels procréer, est-ce de la bestialité ? La fornication de Lucius en tant qu’âne avec une femme humaine est-elle de la bestialité ? Le fait qu’il ait un esprit humain dans un corps animal change-t-il le statut de la relation sexuelle ?
Étonnamment, Apulée ne livre pas le stéréotype pédophile. Une femme mariée vigoureuse jette son dévolu sur son beau-fils. Curieusement, il s’agit d’inceste bien qu’il ne semble pas y avoir de lien sanguin. Et c’est la même chose avec le viol. Un mari cocu viole l’amant toyboy de sa femme adultère en guise de punition. Peut-être que les pédophiles et les violeurs masculins étaient des stéréotypes il y a même 2000 ans.
La féministe en moi se sent obligée de souligner la représentation féminine déséquilibrée. Beaucoup de femmes ont été diabolisées comme des sorcières qui pissent sur le visage des hommes, qui volent des parties du corps des morts, qui sont complices de mauvaises actions, qui sont des nymphomanes, des adultères, des pédophiles, des déesses rancunières vaniteuses et jalouses. Psyché (mythe), Photis (la servante amante de Lucius) et Byrrhena (la tante de Lucius) sont les seules exceptions.
L’Enlèvement de Psyché de William-Adolphe Bouguereau
Pendant le voyage de Lucius, les histoires qu’il entend sont pour la plupart racontées à table, autour du feu, comme distraction lors d’un long voyage ou comme réconfort pour les victimes de kidnapping désemparées. Naturellement, la narration était leur principale forme de divertissement. Eh bien, ça et les potins, qui étaient gratuits ou tu as fourni un repas pour le caissier. J’ai vraiment apprécié le récit mythique de Psyché et Cupidon.
Chacun des 11 « livres » est constitué de chapitres autonomes d’environ 20 pages avec un résumé détaillé de ce qui va arriver au début, il était donc facile d’y plonger et de le sortir. Je n’étais pas particulièrement content de la fin, en fait j’ai parcouru et sauté à ce moment-là. Je peux comprendre la gratitude de Lucius d’avoir eu la chance de redevenir humain, et je suis conscient de cette ancienne tradition selon laquelle « une vie sauvée est une vie due » [see Azeem of 1991’s Robin Hood: Prince of Thieves], mais j’ai un problème avec la foi aveugle. Lucius s’éloigne de sa vie antérieure pour se consacrer et consacrer son avenir à vénérer son sauveur. C’est juste bizarre, de mon point de vue non religieux du 21e siècle.
La traduction a beaucoup joué dans mon appréciation de ce roman ancien. J’ai soigneusement recherché ce qui me convenait. J’ai choisi l’édition Kenney car elle semblait la moins guindée de celles disponibles, et je suis content d’avoir fait ce choix.
Je n’aurais jamais pensé que j’apprécierais un roman vieux de 2000 ans, mais je l’ai fait. Et vous pourriez aussi.
Ma drôle de mésaventure en essayant de trouver une copie de The Golden Ass.
* À lire dans le cadre du défi Autour du monde de la Dead Writer’s Society.
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