L’ancien président de Blizzard, Mike Ybarra, souhaitait réduire les microtransactions de Diablo 4 et redémarrer Overwatch, selon le nouveau livre de Jason Schreier. Cependant, Ybarra a quitté l’entreprise, ce qui l’a empêché d’aller de l’avant avec ces projets, et Microsoft a ensuite acquis Blizzard.
Selon Le livre de Jason Schreier Play Nice: The Rise, Fall, and Future of Blizzard Entertainment, où il partage des détails sur la direction et les plans de développement du studio, Ybarra souhaitait réduire les microtransactions dans Diablo 4 et redémarrer Overwatch. Cependant, ces idées ont été stoppées après son départ. Le projet d’Ybarra de s’éloigner du modèle de service en direct aurait entraîné de grands changements pour les deux jeux. Mais sa pression en faveur de ces changements l’a rendu impopulaire auprès de certains employés de Blizzard.
Diablo 4, malgré son succès critique, a fait face à des réactions négatives en raison de ses microtransactions coûteuses. De nombreux joueurs se sentaient contrariés de devoir payez jusqu’à 25 $ pour des skins cosmétiquessurtout après avoir acheté le jeu lui-même. Ybarra voulait réduire ces coûts, mais il est parti avant que quoi que ce soit puisse changer. Il est également rapporté que Diablo 4 a généré plus de 150 millions de dollars rien qu’en microtransactions, ce qui prouve combien d’argent le jeu rapporte.
Overwatch a eu son propre ensemble de luttes. Après le lancement décevant d’Overwatch 2, Ybarra a souhaité donner un nouveau départ à la franchise avec un reboot. Schreier explique que même si les fans auraient accueilli favorablement cette décision, cela aurait entraîné une refonte complète des éléments clés du jeu, mettant beaucoup de pression sur les développeurs.
Le livre de Schreier nous donne un aperçu de ce qui aurait pu se produire, mais le départ d’Ybarra a empêché ces plans de se développer pleinement.
Diablo 4 a récemment reçu sa plus grande mise à jour il y a quelques jours, qui a coïncidé avec la sortie de son premier DLC d’histoire, Vesel of Hatred. Vous pouvez lire notre critique de l’extension ici.
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