L’ampleur de Zelda Tears of the Kingdom est intimidante, mais je ne peux m’empêcher de craindre le FOMO

The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom

L’arrivée de Legend of Zelda : Tears of the Kingdom approche à grands pas, mais je sais au fond de mon cœur que je n’y jouerai pas de si tôt. C’est en partie dû à mon désir personnel de enfin finir Légende de Zelda Breath of the Wild, mais cela se résume également à un sentiment croissant d’intimidation face à la taille et à l’étendue du monde que la suite promet de livrer. Je veux dire, si je pensais que le décor d’Hyrule dans Breath of the Wild était absolument énorme, le suivi ne fera que s’appuyer sur cela en nous ouvrant le ciel. Si je n’ai pas terminé la première aventure tentaculaire en monde ouvert de Link, quelle chance ai-je de gagner du temps pour une aventure encore plus grande ?

Mais avec l’admission que je ne jouerai pas à Tears of the Kingdom au lancement vient l’inévitable FOMO que je suis sûr de ressentir. La peur de manquer quelque chose est très réelle lorsqu’il s’agit de lancements de gros jeux dont pratiquement tout le monde parle ou prévoit de se lancer. Je repense souvent à 2020, par exemple, et à ce que cela a dû ressentir de ne pas jouer à Animal Crossing: New Horizons à un moment où il a englouti le paysage du jeu. Enfer, je l’ai même ressenti dans une certaine mesure quand il s’agissait d’Elden Ring, un jeu que je sais ne fera tout simplement pas flotter mon bateau.

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