Lament for a Son Résumé et description du guide d’étude


Lament for a Son de Nicholas Wolterstorff est un recueil d’anecdotes et de citations relatives à l’auteur traitant de la mort prématurée de son fils, Eric, dans un accident d’alpinisme. Le narrateur compile des histoires relatives à la vie et à la mort d’Eric pour créer une histoire inspirante sur la façon dont le narrateur surmonte une telle tragédie grâce à sa foi en Dieu. « Lament for a Son » est un livre très inspirant destiné à aider les autres à faire face à des tragédies similaires.

L’auteur écrit Lament for a Son pour honorer son fils, Eric, décédé dans un accident d’alpinisme. Il publie le livre pour donner une voix au deuil des autres. Le narrateur reçoit un appel dimanche qu’Eric est mort. Il a trois secondes de la paix de la résignation accompagnée du sentiment d’offrir Eric à quelqu’un avant que la douleur brûlante et froide n’envahisse ses sens. Eric est seul dans ses dernières années alors que ses amis s’éloignent et se marient, mais Eric est loyal, respectueux des principes, doux et aimant, bien qu’il puisse aussi être sévère, sévère et critique. La famille d’Eric le prend pour acquis, mais peut-être que tout le monde se tient pour acquis. Le narrateur pense qu’il est mal d’enterrer ses enfants car les enfants sont l’avenir et doivent enterrer leurs parents.

Le narrateur vole à travers l’océan jusqu’à Kufstein pour réclamer le corps d’Eric. Le narrateur se demande pourquoi Eric a escaladé la montagne seul, mais il sait pourquoi Eric l’a fait. Eric rédige une thèse sur les origines de l’architecture moderne, ce qui amène le narrateur à déplorer tout ce qui aurait pu être et ne sera jamais. Eric est abattu au sommet de sa vitalité, et le narrateur se demande si ce serait plus facile si son enfant était épuisé par la maladie et qu’il pouvait dire au revoir. Les auteurs prétendent que la mort est le grand niveleur, mais ils oublient de mentionner que chaque mort est unique. Le narrateur décide d’ignorer la norme sociétale interdisant aux hommes de pleurer parce qu’il a été agressé et blessé. Le narrateur rassemble sa famille pour leur dire qu’Eric est mort, mais ils doivent vivre leur vie comme si Eric était toujours en vie, tenant Eric en souvenir. Le narrateur trouve une liste de choses qu’Eric avait prévu de faire parce que l’humanité le prévoit. Les Evangiles ne consolent pas le narrateur parce qu’il n’oublie pas la résurrection ; il sait qu’Eric est dans l’éternité, mais il ne peut pas être avec Eric ici et maintenant. Certaines personnes parlent avec sagesse tout en essayant de réconforter les personnes en deuil tandis que d’autres disent des choses ineptes, mais le cœur est le cœur, pas les mots ; il est important d’exprimer l’amour face à la mort.

Le narrateur soulève Eric de son berceau alors qu’il était bébé et place également Eric dans son cercueil. Claire, la mère d’Eric, insiste pour voir le corps d’Eric. Les funérailles d’Eric donnent du repos à l’âme du narrateur. Le narrateur compose la liturgie qui est utilisée lors des funérailles d’Eric ; il s’oppose à l’extinction du cierge de la résurrection. Le chagrin de la mort d’Eric laisse le narrateur à court de mots. Parce que chaque homme fait partie de l’ensemble de l’humanité, chaque individu est diminué par la mort des autres. L’histoire d’Eric est close et il ne reste que des souvenirs. Le narrateur ressent la douleur de sa perte au plus profond de son âme, mais la mort d’Eric est aussi celle d’Eric à cause de tout ce qu’il ne pourra plus jamais faire. Le narrateur rêve d’un personnage sinistre qui lui fait peur et d’une voix rassurante qui le réconforte. La passion du narrateur pour la vie est refroidie. Les livres offrent des moyens de se détourner de la mort et de la douleur, mais le narrateur ne détournera pas le regard car il ne croit pas que cela honore la mémoire d’Eric. Ceux qui partagent leur chagrin ne peuvent pas se réconforter parce que chaque individu vit son deuil différemment. La mort rend Eric spécial parmi les enfants du narrateur. Le narrateur imagine un champ de bataille où il échoue à protéger l’un des soldats derrière lui. Il est peiné par des questions innocentes sur ses enfants et ne trouve aucun moyen de vivre en paix avec la mort.

Le narrateur vivra avec ses regrets et les acceptera comme faisant partie de la vie, attendant le Jour du Jugement dernier pour s’excuser auprès d’Eric. Le narrateur apprend à espionner Dieu dans la lumière, mais il ne peut pas trouver Dieu dans les ténèbres. Il demande à Dieu de protéger sa famille, tout comme il a demandé à Dieu de protéger Eric. Le narrateur comprend maintenant plus profondément la souffrance du monde. Un ami amer demande pourquoi il ne rejette pas Dieu, mais le narrateur voit la gloire de Dieu dans le monde qui l’entoure. Il est sûr qu’il reparlera à Eric pendant le règne de Dieu sur Terre. Dieu souffre avec nous ; les personnes en deuil sont consolés par les larmes de Dieu. Jésus-Christ salue les personnes en deuil, leur promettant qu’elles seront réconfortées. Dieu est amour, et l’amour est souffrance, donc Dieu souffre. Lorsque la coupe de souffrance de Dieu est pleine, la rédemption sera accomplie. Le narrateur vivra la réalité de la mort d’Eric, mais ses blessures demeurent. Sa souffrance peut être une bénédiction, mais il est difficile de la voir comme telle. La famille du narrateur doit être restructurée pour exister sans Eric. La famille d’Eric visite sa tombe un an après sa mort et dit au revoir à Eric jusqu’à ce qu’ils se retrouvent dans le royaume de Dieu. Les parents d’Eric chargent Cary Ratcliff de composer un requiem en l’honneur d’Eric; le requiem aborde l’horreur de la mort, une lamentation, la part de Dieu dans la souffrance de l’humanité, ce que pourrait dire Eric, l’endurance de la foi et l’espérance chrétienne.



Source link -2