L’agent secret


L’agent secret de Joseph Conrad, est un roman classique basé sur des événements réels, la tentative de faire exploser l’Observatoire de Greenwich en 1894. L’histoire romancée tourne autour d’une belle et jeune épouse, de son frère simple d’esprit et de son mari dévoué mais torturé. Le roman est un mélange d’histoire d’amour, d’espionnage et de mystère qui continue de divertir plusieurs années après sa date de publication originale.

Le roman s’ouvre alors que M. Verloc, propriétaire d’un magasin, se rend à un rendez-vous dans une ambassade à Londres. Lors de cette réunion, M. Verloc se révèle être un agent secret du gouvernement français et est accusé de ne plus être productif à ce titre. Dans le passé, l’ambassadeur était un homme qui faisait entièrement confiance à M. Verloc. Cependant, il y a maintenant un nouvel homme aux commandes. C’est un homme d’action, qui attend de tous ceux qui sont à son service qu’ils soient également des hommes d’action. Cet homme, M. Vladimir, suggère à M. Verloc de créer une situation susceptible d’exciter les émotions des habitants de Londres, en faisant exploser une bombe dans un lieu scientifique.

Tandis que M. Verloc lutte contre la menace perçue dans la suggestion de M. Vladimir, ses amis excitent les émotions de son beau-frère en discutant de la réforme sociale dans des termes que le jeune homme comprend mal. Stevie, le beau-frère de M. Verloc, est un jeune homme simple qui a eu du mal à trouver un emploi et qui travaille désormais exclusivement dans le magasin de pornographie de M. Verloc.

Lorsqu’un homme explose à Greenwich Park, quelques amis de M. Verloc sont convaincus qu’il s’est fait exploser. La police aussi se méfie immédiatement de M. Verloc, à cause d’un tissu bleu trouvé parmi les effets du mort. Un inspecteur, l’inspecteur en chef Heat, pense qu’un ami de M. Verloc, récemment libéré sur parole, Michaelis, est impliqué. Il est déterminé à le prouver afin de continuer à développer sa réputation très respectée. Son superviseur, le commissaire adjoint, n’est pas d’accord et décide de s’impliquer lui-même dans l’enquête.

Heat se rend chez M. Verloc, pour découvrir que son superviseur est déjà là. Heat apprend la véritable identité du mort et que M. Verloc était effectivement impliqué. Heat suggère à M. Verloc de quitter le pays immédiatement. Le commissaire adjoint, cependant, a déjà proposé à M. Verloc un accord en échange d’informations qui non seulement innocente Michaelis, mais met également fin au règne tyrannique de M. Vladimir.

En apprenant la mort de son frère, Mme Verloc devient presque catatonique en écoutant son mari expliquer tout ce qui s’est passé. M. Verloc dit à sa jeune épouse que la mort de son frère est autant de sa faute que de la sienne, car elle a forcé M. Verloc à passer du temps avec Stevie. C’est aussi de sa faute si M. Verloc a été arrêté si rapidement par la police, car elle ne lui a pas parlé des étiquettes qu’elle avait cousues sur le manteau de son frère. Mme Verloc devient meurtrière et poignarde son mari avec un couteau à découper.

Mme Verloc s’enfuit du magasin, effrayée à l’idée de mourir par la potence. Mme Verloc croise un ami de son mari et lui demande de l’aide. Mais au lieu de l’aider, Ossipon, l’ami de son mari, l’abandonne et lui vole tout son argent. Mme Verloc finit par se suicider en sautant anonymement d’un bateau à vapeur. Seul Ossipon connaît la vérité sur la mort de Mme Verloc.



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