La vidéo Prime d’Amazon a fait l’objet d’un recours collectif concernant un niveau publicitaire supplémentaire

La vidéo Prime d'Amazon a fait l'objet d'un recours collectif concernant un niveau publicitaire supplémentaire

Un client a déposé un recours collectif contre Amazon, attestant qu’il a rompu son contrat et s’est livré à de fausses publicités en ajoutant des frais supplémentaires de 2,99 $ pour que les clients Prime puissent recevoir le streaming sans publicité de Prime Video.

La plainte, déposée plus tôt ce mois-ci à Washington, porte sur un changement récent dans la manière dont Amazon Prime gère le visionnage sans publicité sur Prime Video. Auparavant, les abonnés Amazon Prime payaient 14,99 $/mois ou 139 $/an pour un certain nombre d’avantages liés à Amazon, notamment le visionnage sans publicité de films et d’émissions de télévision disponibles sur Prime Video. Cependant, en janvier, Amazon a modifié les conditions. Les abonnés Prime doivent payer 2,99 $/mois supplémentaires pour un visionnage sans publicité, les abonnés Prime réguliers pouvant continuer à regarder leurs émissions avec des publicités jointes.

Le plaignant affirme qu’eux-mêmes et beaucoup d’autres comme eux ont acheté un abonnement Prime dans l’espoir d’un streaming sans publicité, disponible depuis le lancement de Prime Video en 2011. La plainte souligne que des personnes comme le plaignant qui ont acheté un abonnement annuel pour accéder au service, disons, en juin (avant le déploiement du changement), ils auraient dépensé 139 $, pour ensuite voir les conditions de leur achat modifiées au milieu de leur période d’abonnement, ce qui constitue effectivement une rupture de contrat.

Le nouveau niveau sans publicité de Prime Video suit les traces d’un certain nombre d’autres services de streaming qui ont récemment séparé les versions sans publicité et sans publicité de leurs abonnements. Le plus notable a été Netflix, qui a récemment signalé plus de 23 millions de MAU rien que pour son niveau publicitaire. C’est une décision qui frustre également certains créateurs de séries, qui affirment que leur travail n’a pas été conçu en pensant aux coupures publicitaires.

IGN a contacté Amazon pour commentaires.

Rebekah Valentine est journaliste principale pour l’IGN. Vous avez un conseil d’histoire ? Envoyez-le à [email protected].

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