La vérité sur l’affaire Harry Quebert de Joël Dicker


?? « Volez pauvres fous! »

Petit commentaire :
un début intriguant, deuxième quatrième indigeste, troisième quatrième insupportable, dernier quatrième moitié insupportable, moitié acceptable. Personnages stupides, égocentriques, superficiels, insupportables. Romance inacceptable, récit littéraire sans substance, mystère qui reprend au final. Un grand flop.

Commentaire plus long (spoilers possibles) :
Chaque chapitre commence par un « conseil » que le célèbre Harry Quebert donne à son élève Marcus au cours de sa vie. Chaque conseil occupe une page. Gaspillage de papier.

À certains moments, des raids dans le passé apparaissent et souvent lors de scènes importantes se produisent dans le présent. Si cela doit amener le lecteur à se tenir sur le bord de la chaise parce qu’il veut savoir qu’il se passe quelque chose, eh bien, cela ne fonctionne pas.
Car la seule émotion que ce travail essaie de me procurer est la nuisance. Et ce n’est pas la nuisance de « oh-mon-dieu-je-veux-savoir-chose-arrive ». Non, c’est la nuisance de « toujours ? Encore une fois cette intrigue ? Il n’y a pas d’autre moyen de créer du suspense ? ».

Il y a beaucoup de choses qui m’énervent :

1. un livre qui a remporté des prix doit avoir au moins un bon moyen de raconter des événements, des émotions, des faits, des sentiments. Ici, tout est vierge à cause de l’écriture incolore, de la narration pure des actions, des dialogues simples.
Il n’y a pas de caractérisation des personnages. Comment pensez-vous écrire une histoire d’amour sans enquêter sur l’âme de ses protagonistes ?
2. manque de profondeur psychologique, donc. Dans un livre de 779 pages, c’est impossible. Ce livre est catalogué entre romans, alors non, il doit y avoir des sentiments. Et je ne parle pas des phrases dans Wichita Harry dit qu’il aime quelqu’un, que l’amour est la seule raison de vivre ecc. Non, je veux dire que les personnages, tout en étant vus de l’extérieur, doivent exprimer au moins en gestes ce qu’ils pensent. Il n’y a pas de descriptions. Maintenant, je comprends que nous ne pouvons pas lire l’esprit de Harry, étant déjà tout écrit du point de vue de Marcus. Mais qu’il y ait au moins les sentiments de Marcue ! Si seulement le narrateur écrivait ses pensées ! ton maître est emprisonné et tu ne dis rien, aucun sentiment ? Regret, colère, résignation, mépris, incrédulité ? Le rien absolu ?
3. et puis, vous demandez pourquoi les gens vous regardent mal quand vous le défendez ? Savoir qu’une personne de 35 ans aime une personne de quinze ans et n’a aucun regret ?
Elle peut être sa fille ! Et vous n’êtes pas surpris !? Comme si c’était normal.
3. L’ego gigantesque de Marcus. Il a écrit un livre, a eu du succès, a dépensé tout ce qu’il a gagné et se plaint pourquoi, après deux ans dans le luxe, n’a pas plus d’argent. Mon cher Marcus, rarement les écrivains ont vécu en pacha grâce aux livres. Vous avez écrit un livre, un best-seller, alors ne vous plaignez pas si, pour gagner plus d’argent et continuer votre précieuse vie, vous devrez travailler. Si votre rêve est de vivre de l’écriture et de ne rien faire d’autre, ne pleurez pas à cause d’une crise d’écrivain. Tu voulais ça.

4. quand je lis la brume d’Avalon par Marion Zimmer Bradley Je détestais Geneviève. C’est le seul personnage que j’ai détesté du début à la fin, à cause de sa coquetterie, sa superficialité, sa bêtise. Dans ce livre, j’ai détesté tout le monde. Les femmes/filles ne pensaient qu’à attraper Harry Quebert parce qu’il est riche et parce qu’il devrait être beau. Nola, la fille, et Jenny, la serveuse, ont les yeux couverts de jambon, elles sont à des années éloignées de la réalité, elles vivent dans un monde féerique où leurs désirs chevauchent les actions des autres. Tort. En fait avant ou alors ils comprendront. La mère de Jenny et la mère de Marcus viennent de s’étrangler. Deux oies.
5. l’enquête. Oh, les hommes, l’enquête. Quand la police laisse-t-elle enquêter sur un écrivain, un citoyen public ? Lorsque ? Même pas dans la série télévisée arrive : dans château l’écrivain doit avoir une autorisation et être toujours accompagné d’officiers. Je n’ai pas de mots. Et où sont les policiers ? Ils n’apparaissent sur scène que vers la moitié du livre.

7. Je dois dire que les quatre-vingts dernières pages sont bien faites. Cependant, dans un livre de 779 pages, ce n’est pas suffisant.

8. s’il vous plaît, si vous voulez écrire un livre sur un écrivain-détective, ne prenez pas exemple de cela. Faites tout ce que vous voulez, mais ne copiez pas cette honte. C’est illisible, une accumulation de conversations qui n’ont pas de sens, que des mots vides. Accompagné de personnages insipides, arrogants, stupides.

Je pourrais écrire 31 points, comme conseils, MAIS HEY, o avoir une vie, et j’en ai marre de ce livre. Alors adios book, je cherche de meilleurs romans qui me font ressentir quelque chose. Au revoir, Marcus Goldman, je ne te reverrai plus jamais. ??

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??«Fuggite, sciocchi!»

Commentaire bref :

Inizio intrigante, secondo quarto indigesto, terzo quarto insopportabile, ultimo quarto metà insopportabile, metà accettabile.
Personaggi stupidi, egocentrici, superficiali, avventati, insopportabili.
Storia romantica inaccettabile, storia letteraria incohérente, storia gialla che si riprende nel finale.
Un grand flop.


Commentaire plus approfondi (possibilité de SPOILERS) :

Andiamo con ordine.
Ogni capitolo inizia con un « consiglio » che il famoso Harry Quebert dà al suo pupillo Marcus durante la sua vita. Ogni consiglio occupa una pagina.
Spreco di carta.
Volti pagina, quella a sinistra è vuota, quella a destra inizia direttamente parlando del presente. Ad un certo punto iniziano a comparire incursioni nel passato che, spesso, escono nel bel mezzo di importanti scene narrative ambientate nel presente. Se questo dovrebbe portare il lettore a stare sul pizzo della sedia perché vuole sapere cosa succede, beh, non funziona. Perché l’unica emozione che questo artificio narrativo mi fa provare è fastidio. E non è il fastidio da “oh-mio-Dio-devo-sapere-cosa-succede”. Non, è il fastidio da “ancora? Di nuovo questo escamotage? Un altro modo per creare suspence non c’è?”.

Ci sono molte cose che mi hanno reso indigesta la lettura.

1. Un libro che ha vinto dei premi prestigiosissimi dovrebbe avere almeno un buon modo di raccontare avvenimenti, emozioni, fatti, sensazioni. Qui è tutto banalizzato da una scrittura incolore, quasi insipida, che non va oltre il puro narrare di azioni, riportare dialoghi.
Non c’est un minimo approfondiment du caractère dei personaggi, neanche dello stesso protagonista, CHE VUOLE SCRIVERE UNA STORIA BASATA SU UNA STORIA D’AMORE. Venez si fa a pensare di poter scrivere di une storia d’amore senza indagate l’animo dei suoi protagonisti?

2. Mancanza di approfondimento psicologico, quindi. In un libro che è lungo 779 pagine lo trovo impossibile, almeno che non si tratti di un manuale sulla criminologia. Ma questo è catalogato tra i romanzi, quindi NOPE, ci devono essere per forza dei sentimenti. E non sto parlando del fatto che Harry continue a dire di amare qualcuno, che l’amore è l’unico motivation per vivere ecc. Non, entendo dire che i personaggi, pur essendo visto dal di fuori, devono esprimere almeno nei gesti quelli che provano. Qui nessuna descrizione del genere comparer.
Ora, capisco che non si possa leggere nella mente di Harry, essendo già tutto lo scritto dal punto di vista di Marcus. Ma che ci siano almeno le sensazioni di Marcus, e che cavolo! Sei il narratore, esprimi dei pensieri ! Il tuo maestro viene incarcerato e tu non esprimi alcun sentimento? Dispiacere, rabbia, rassegnazione, disprezzo, incredulità ? Il nulla assoluto?

3. E poi, ti chiedi perché le persone ti guardano male quando lo difendi? Sapendo che un TRENTAQUATTRENNE è stato con una QUINDICENNE e non si è sentito in colpa, se non per un brevissimo periodo di tempo?
Non capisci che la gente non giudica l’idea di assassinio, che ancora non è provato, quanto il rapporto tra un uomo ed una ragazzina che potrebbe essere su figlia? Et si sorbndi ? Venez voir fosse normale. Non siamo più al tempo degli antichi romani, andare a letto con una minorenne è reato. E tu che fai, Marcus ? Neanche ne parli con il tuo « delizioso » (pffff) maestro.

3. Per non parlare dell’ego smisurato del protagonista. Ha scritto un libro, ha avuto successo, ha speso tutto quello che ha guadagnato e si lamenta perché, dopo due anni nel lusso, ora non ha più soldi. Si dà il caso, caro mio, che raramente gli scrittori hanno vissuto da pascià grazie alle entrate dei libri. Hai scritto UN libro, non decine di best-seller, quindi non ti lamentare se, per avere altri soldi e per continuare la tua vita, prima o poi dovrai lavorare. Se il tuo sogno è vivere di scrittura, e non fare nient’altro come lavoro, non lamentarti poi di un blocco dello scrittore. Perché te lo sei cercato.

4. Quando ho letto Le nebbie d’Avalon della Bradley ho odiato il personaggio di Ginevra. È l’unico personaggio che ho detestato dall’inizio alla fine, per la su civetteria, la sua superficialità, la sua stupidità. Ecco, qui tutti i personaggi sono così, odiosi. Le donne/ragazze pensato solo ad accalappiare Harry Quebert perché pensano che sia ricco e perché dovrebbe essere un gran Figo. Nola, la ragazzina, e Jenny, la cameriera, hanno gli occhi foderati di prosciutto, solo lontane anni luce dalla realtà, vivono in un mondo fatato in cui pensano che i LORO desideri comandino le azioni degli altri. Sbagliato. Infatti prima o poi lo capiscono. La mère de Jenny et la mère de Marcus sono da strozzare. Due oche.

5. L’indagine. Oh, signori, l’indagine.
Quand peut-être la police lascia indagare uno SCRITTORE, un pubblico cittadino? Quand mai? Neanche nelle serie tv accade : dans château lo scrittore deve avere un permesso ed essere SEMPER accompagnato dagli agenti. Qui non, tutti dicono tutto al nostro carismatico e rompipalle Marcus, così, perché ha un bel faccino. Io boh, libération conditionnelle non ho. Ma poi, scusa hein, ma i poliziotti colombe sono? Compaiono sulla scena solo verso la metà del libro. Neanche cercano di fermare Marcus dal ficcare il naso nelle indagini.

6. L’inutilità di intervallare i consigli d’autore con the scene di Marcus che non riesce a scrivere e, ogni tre o quattro pagine, ricordare che “ehi, io starei facendo un’ndagine, scriviamo qualcosa a proposito“. Venez se non fosse il soggetto principale del libro.

7. Ammetto che l’ultima ottantina di Pagine è ben fatta. Qui si è visto il volto poliziesco del libro. Però in il libro di 779 pagine non basta.

8. PAR FAVOR, se volete scrivere un libro su uno scrittore-detective, non prendere esempio da questo. Fate tutto come volete, ma non copiare questo obbrobrio. Non si può leggere, un accumularsi di conversazioni che non hanno senso, non hanno spessore, non dicono niente, solo vuote parole che possono dire tutto o niente. Corredate da personaggi insipidi, arroganti, bisbetici, presuntuosi, stupidi. Non c’è nessuno che si salvi.

Cavolo ! Potevo fare 31 punti, quanti sono i consigli del magnifico Quebert, ma ehi, io ho una vita, e dopo un po’ mi stanco di lamentarmi di un libro, passo avanti, non mi fermo a piangere sul latte versato. Quindi ciao, vado a cercare altri romanzi belli bellisimi che mi facciano chiudere il libro, accarezzare la copertina, sorridere e sospirare. Addio, Marcus Goldman, un plus grand rivederci. ??



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