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Je dirai d’abord ce que j’ai apprécié dans ce livre. J’aimais bien Lucifer, il était drôle et intelligent. Il était la seule voix de la raison dans cette histoire. Cela étant dit, j’ai eu du mal à m’y tenir quand les rôles de Lucifer étaient minimes, Adam était un frein et Eve était réduite au silence autant que n’importe quelle femme sortant d’un livre de cette époque. J’ai apprécié les images et j’étais excité quand j’ai pensé qu’Adam était mort alors qu’il flottait dans l’espace, malheureusement il a été réanimé et capable d’enfoncer le dernier clou dans
Je dirai d’abord ce que j’ai apprécié dans ce livre. J’aimais bien Lucifer, il était drôle et intelligent. Il était la seule voix de la raison dans cette histoire. Cela étant dit, j’ai eu du mal à m’y tenir quand les rôles de Lucifer étaient minimes, Adam était un frein et Eve était réduite au silence autant que n’importe quelle femme sortant d’un livre de cette époque. J’ai apprécié les images et j’étais excité quand j’ai pensé qu’Adam était mort alors qu’il flottait dans l’espace. Malheureusement, il a été réanimé et a pu enfoncer le dernier clou dans le cercueil de ce livre.
Malheureusement, la dernière section de The Tragedy of Man a réussi à me dégoûter au point que j’ai été presque incapable de finir de la lire. La dernière étape du voyage d’Adam s’est déroulée dans le désert décimé qu’était devenue la terre. Au grand désarroi d’Adam, on découvrit que les hommes survivaient mais en tant que « caricatures » d’hommes… Les derniers humains survivants étaient des Esquimaux et apparemment c’était la vraie tragédie. Le fait qu’une personne indigène, capable d’habiter le monde libre de certaines des oppressions et des limitations que nous, colonisateurs, lui avons imposées, n’ait pas été présentée comme ayant un avenir optimiste, m’a beaucoup déprimé. Comparé à l’acte précédent, qui était un merveilleux flottement dans l’espace, c’était une blague méchante. Je ne recommande pas ce livre en me basant uniquement sur la fin. Nous valons mieux que ça.
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