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« Wolf Hall » est un roman historique de Hilary Mantel qui raconte la vie de Thomas Cromwell jusqu’au milieu des années 1530, lorsque Henry VIII cherche à annuler son propre mariage avec la reine Catherine afin d’épouser Ann Boleyn, la fille du diplomate Thomas Boleyn. Au début du roman, Thomas Cromwell, originaire d’Angleterre, n’est qu’un enfant régulièrement et sauvagement battu par son père, Walter, forgeron et brasseur. Le jeune Thomas s’enfuit alors en Europe continentale, où il sert comme soldat mercenaire dans l’armée française, puis se forme dans le secteur bancaire italien. Il retourne en Angleterre pour exercer le droit et s’assure le patronage du cardinal Wolsey. Cromwell commence à travailler exclusivement pour Wolsey, et c’est par l’intermédiaire de Wolsey – qui a l’oreille du roi Henri VIII – que Cromwell apprend que le roi s’inquiète de la naissance d’un héritier mâle et cherche à annuler son mariage avec la reine Catherine pour épouser Anne Boleyn.
Cromwell grandit en stature et en prestige sous l’aile de Wolsey. Wolsey lui-même, cependant, est chargé d’une tâche apparemment insurmontable : annuler le mariage du roi. Wolsey tente de faire appel à des canaux pour obtenir l’annulation, mais n’a guère de succès. L’Église catholique considère le mariage comme un contrat et une institution sacrés et inviolables. En tant que telle, l’Église catholique défend officiellement Katherine et sa position de reine. L’échec de Wolsey est trop difficile à gérer pour Anne Boleyn. Anne Boleyn retourne lentement mais sûrement le roi contre Wolsey, ce qui conduit à la chute de Wolsey sur de fausses accusations de trahison. Malgré la chute de Wolsey, Cromwell défend Wolsey sans hésitation.
La loyauté de Cromwell envers Wolsey jusqu’à ce que ce dernier meure de maladie pendant son arrestation lui vaut le respect du roi et, dans les années 1530, Cromwell devient indispensable au roi dans tous les domaines. Cromwell conseille le roi sur toutes sortes de sujets, de la politique intérieure à la politique étrangère. Cromwell fait partie de ceux qui établissent l’idée que le roi a juridiction sur l’Église catholique en Angleterre, et non sur le pape, car le roi est légalement autorisé à gouverner sur tout ce qui se trouve dans l’étendue de ses propres terres. En tant que tel, le roi peut annuler son propre mariage en réécrivant les lois. Henri, Cromwell et leur entourage s’engagent ainsi à réorganiser les relations entre l’Église et l’État, en les combinant.
Cette situation scandalise la quasi-totalité du monde chrétien, y compris le chancelier du roi, Thomas More. More proteste contre la façon dont Henry VIII traite l’Église catholique à chaque étape du processus et est plus tard exécuté pour avoir refusé de signer l’Acte de Suprématie, qui donne au roi d’immenses pouvoirs religieux. Peu de temps après, Henry VIII annule son mariage avec Katherine et se remarie avec Anne. Anne, cependant, n’a pas réussi à donner naissance à un héritier mâle après plusieurs tentatives, ce qui déplaît énormément au roi. Cela n’est pas de bon augure pour Anne. À la fin du roman, Cromwell planifie les voyages d’été et d’automne de la cour du roi, y compris un séjour de cinq jours qui se déroulera à Wolf’s Hall, la résidence de la famille Seymour, dont la fille Jane a attiré l’attention déjà errante du roi.
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