La révélation terne de Suicide Squad est un symptôme d’une maladie répandue dans l’AAA

Suicide Squad: Kill the Justice League

Il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec la Suicide Squad. Ça a toujours été le pitch, n’est-ce pas ? Que certaines des pires personnes au monde ont été chargées de le sauver. Sauf que cette fois, cette configuration inconfortable s’est échappée de la fiction et a infecté le projet qui la contient. Il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec Suicide Squad: Kill The Justice League. Pourtant, ses gestionnaires à Rocksteady et Warner Bros. vont l’envoyer mourir de toute façon.

Il n’y a rien de mal avec le pedigree derrière le projet, bien sûr. Kill The Justice League est co-dirigé par Sefton Hill, le même homme qui a été au cœur de tous les jeux Arkham que Rocksteady a jamais créés. Pourtant, en regardant la révélation de Suicide Squad lors du Sony State of Play du mois dernier, un sentiment de naufrage s’est installé alors qu’il devenait évident qu’un studio prestigieux et autrefois innovant s’était deviné de sérieux ennuis.

Fatigué

(Crédit image : Rocksteady)

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