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La version suivante de cette histoire a été utilisée pour créer ce guide : Jackson, Shirley. «La possibilité du mal». https://thepossibilityofevilma.weebly.com/short-story.html.
Notez que toutes les citations entre parenthèses font référence à la page d’où la citation est tirée.
« La possibilité du mal » commence par un portrait de Miss Adela Strangeworth se dirigeant vers l’épicerie par un bel après-midi. Le narrateur explique que Miss Strangeworth a 71 ans et que son grand-père a construit la première maison sur Pleasant Street, où elle vit toujours et s’occupe de sa roseraie. Le narrateur note que Miss Strangeworth ne donne jamais ses roses, même aux touristes qui les demandent, car elle est déstabilisée par l’idée de transplanter ses fleurs dans « des villes étranges et dans des rues étranges » (1).
Miss Strangeworth arrive à l’épicerie et passe sa commande auprès de M. Lewis, l’épicier. Elle remarque qu’il semble bouleversé par quelque chose mais ne demande pas pourquoi. Elle note également que Mme Harper, qui est venue au magasin pour acheter du sucre, n’a pas l’air bien. En sortant de l’épicerie, elle rencontre Helen et Don Crane et leur fille de six mois et parle brièvement à Helen du développement de l’enfant. Lorsqu’elle arrive à la maison, Miss Strangeworth entre dans son salon et sort un papier à lettres pour écrire des lettres. Elle écrit une lettre à Don Crane suggérant que son enfant est un « idiot » (3), et une lettre à Mme Harper suggérant que son mari a une liaison. La narratrice explique qu’elle écrit ces lettres anonymes depuis plus d’un an afin de débarrasser sa ville du mal.
Après avoir écrit ses lettres, Miss Strangeworth déjeune, jardine et fait une sieste. Elle décide de se rendre à la poste pour poster ses lettres. Lorsqu’elle arrive, elle voit Linda Stewart, 15 ans, et Dave Harris se disputer sur les raisons pour lesquelles Dave n’est plus autorisé à venir chez elle. Miss Strangeworth envoie ses lettres, mais laisse tomber celle à Don Crane sans s’en apercevoir. Dave Harris et Linda Stewart le trouvent et décident de le livrer aux Cranes ce soir-là.
Le lendemain matin, Miss Strangeworth se réveille et trouve son courrier qui l’attend. La pile comprend une petite enveloppe comme celles qu’elle utilise pour envoyer ses lettres. Elle l’ouvre et se met à pleurer en voyant les mots «Regarde ce qu’étaient tes roses» (5) écrits à l’intérieur.
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