La plus grande réussite d’Outlast n’est pas son horreur de caca dans votre pantalon, elle reste pertinente pendant une décennie

Outlast

Outlast a été le premier jeu à m’époustoufler sur PS4. Les goûts de Killzone: Shadow Fall, Battlefield 4, Call of Duty: Ghosts et Blacklight Retribution étaient tous d’excellents jeux pour montrer la puissance du matériel de pointe de Sony, bien sûr. Mais c’est l’aventure d’action-survie à la première personne de Red Barrels qui m’a enfoncé ses dents déformées et qui ne m’a pas lâché. Aujourd’hui, près d’une décennie après que l’intrépide journaliste d’investigation Miles Upshur s’est infiltré pour la première fois dans l’asile Bedlam-esque Mount Massive, Outlast est sur le point de lancer sa troisième série : The Outlast Trials.

Après une brève expérience pratique avec une première version l’année dernière, j’ai écrit sur la façon dont The Outlast Trials a plus de gore qu’un film slasher et le potentiel de changer le genre d’horreur. En raison du lancement demain, le 18 mai, via l’initiative d’accès anticipé de Steam, j’attends avec impatience mon prochain passage avec le dernier de Red Barrels, en quelque sorte encore plus une vision distillée de la violence gratuite, des sauts effrayants et de l’horreur à glacer le sang. Mais alors que je me prépare à abattre des outils dans une autre histoire de terreur sans armes, je ne peux pas m’empêcher d’applaudir l’endurance d’Outlast. Après tout, c’est un concept qui a tant emprunté à d’autres genres d’horreur il y a 10 ans, et qui a pourtant réussi à rester pertinent et attrayant à ce jour.

Certificat mort

(Crédit image : barils rouges)

SOUVIENS-TOI DE MOI

meilleure horreur de survie

(Crédit image : Red Barrel)

Rappelez-vous comment c’était avec notre revue Outlast

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