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und alle Herrlichkeit des Menschen
avec des Grases Blumen.
Das Gras ist verdorret
und die Blume abgefallen….So seid nun geduldig, lieben Brüder,
bis auf die Zukunft des Herrn.
Siehe, ein Ackermann wartet
auf die köstliche Frucht der Erde
und ist geduldig darüber… Herr, lehre doch mich,
daß ein Ende mit mir haben muß,
und mein Leben ein Ziel chapeau,
und ich davon muß. »
« Car toute chair est comme l’herbe,
et la gloire de l’homme
comme des fleurs.
L’herbe se dessèche
et la fleur tombe… Soyez donc patients, chers frères,
pour la venue du Seigneur.
Voici, le laboureur attend
pour les délicieux fruits de la terre
et est patient pour cela… Seigneur, apprends-moi
Que je dois avoir une fin,
Et ma vie a un but,
et je dois l’accepter. »
Voilà donc un peu de Brahms, c’est ce à quoi ce livre m’amène quand je le lis : https://www.youtube.com/watch?v=l6zpV…
Maintenant, à ma deuxième lecture, je le trouve encore plus inquiétant qu’avant. J’avais eu l’intention de parcourir à nouveau le livre afin d’écrire une meilleure critique que mon petit blah-bling habituel partout, car c’est un travail auquel j’ai repensé plus d’une fois au cours de l’année écoulée. Mais l’écrémage n’a pas fonctionné et finalement, j’ai eu un « Oh, pour l’amour de Dieu ! » moment où je viens de décider de faire à nouveau de ce livre l’un de ceux qui m’accompagnent dans mon sac, au travail, à Wal-Mart et à tous ces autres endroits parfois horribles.
Quoi qu’il en soit, revenons à Brahms et à la mort comme soulagement et recherche de consolation pour les vivants endeuillés. Ce livre est comme un requiem pour le personnage principal, et pour sa religion. Ce livre traite du doute et de ce qu’il faut en faire. Ce livre parle, vraiment, de tout. C’est soigné comme une épingle et ça ne gaspille pas de mots mais aussi, oui, à un autre niveau, il s’épanouit en noir et saigne de partout. Au moins je le pense.
Judith Hearne pense que le tissu de sa vie affiche un certain design. Au fil du temps, le tissu développe un point lâche. Pour certains ayant le même problème, ils pourraient simplement nouer le fil indiscipliné et le remettre sous un autre fil. Cela pourrait être la chose sage à faire, ou la chose la plus simple à faire, ou la chose à faire si vous ne vous souciez pas du design et n’avez pas attendu et attendu depuis toujours que le foutu tissu continue et affiche son motif majestueux qu’il devrait avoir ; qu’il semble que tous les tissus des autres ont.
Mais Judith ne peut pas faire ça. Elle ne peut pas laisser un point lâche juste là. Elle s’inquiète du point lâche. Ça s’effiloche. Elle essaie de le raccommoder, étire une partie de son tissu dans le processus, puis l’inévitable s’effiloche. Mais quand le tissu est défectueux, que peut-on faire ? Quand les fils de qui vous êtes ne conviennent pas et que le dénouement commence et que le requiem gonfle et s’accélère à chaque regard dans le miroir et à chaque rejet…
La foi, pour Judith, est le fil conducteur de sa vie. Le Sacré-Cœur, encadré de son halo peint montrant les fissures de l’âge, doit être à sa « bonne place », la « bonne place », la regardant de haut. Elle est attachée à ce mode de vie, cloîtrée, elle a soigné la substance de ses espérances, attendant le jour où viendra son tour de l’Époux et la rédemption, récompense de sa constance. Le sacrifice du Sacré-Cœur est aussi son sacrifice, elle le possède aussi :
Dieu abandonné, pensa-t-elle, tu attends seul chaque nuit pendant que les hommes t’oublient.
Repousser cet espoir épuisé encore et encore demande du travail.
La religion était là : ce n’était pas quelque chose auquel vous pensiez, et si, de temps en temps, vous aviez un petit doute sur quelque chose… eh bien, c’était le Diable à l’œuvre et les voies de Dieu n’étaient pas les nôtres. Vous pourriez prier pour être guidé. Elle avait toujours prié pour être guidée, pour de l’aide, pour ses bonnes intentions… le Sacré-Cœur. Il était son guide et son consolateur. Et son terrible Juge.
Ah, Judith ! Ton Dieu, la fille à la fraise bouclée, ne sera pas très très gentille avec toi. Pour vous, ce sera horrible. Ce problème, le problème de la recherche du grand design, est trop dévastateur pour être conservé au fond de votre sac à main. C’est une perte appropriée, et elle commence et est impitoyablement raide et le soulagement est absent :
Et elle était seule dans l’obscurité. Ratatinée, ses péchés lavés… n’est-ce pas ? N’y avait-il rien à prier ? Dieu miséricordieux, ne me quitte pas, ne m’abandonne pas… O cœur sacré, écoute ma prière… Personne. L’église, une coquille vide, personne à entendre, aucune raison de prier, seules les statues écoutent. Les statues ne peuvent pas entendre… Peu importe… Personne ne se souviendra de moi, personne ne pleurera pour moi.
https://www.youtube.com/watch?v=f9IFP… Voici où nous mettons cela.
« Tout : vies, espoirs, dévotions, pensées. Si vous ne croyez pas, vous êtes seul. » -Judith
« Là… tu vois ? La vie n’est pas si mal après tout… et tu sais quelque chose ? Il y a du poulet pour le déjeuner. -Sœur Mary Annunciata, souriante
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