La part d’Ottawa dans le financement des soins de santé sera la principale préoccupation lors de la réunion des premiers ministres en Colombie-Britannique

« La COVID-19 a montré les faiblesses du système de santé canadien, et nous devons remédier à ces faiblesses pour les Canadiens », a-t-il déclaré dans un communiqué.

La Dre Katharine Smart, présidente de l’Association médicale canadienne, a déclaré que permettre aux travailleurs de la santé d’être mobiles « atténuerait les points de pression » dans le cadre d’une solution pour augmenter les ressources là où elles sont nécessaires.

«Lorsqu’un système de santé universel n’est pas en mesure de répondre aux besoins de base des Canadiens en matière de soins de santé, nous devons accepter qu’il a échoué et travailler ensemble pour y remédier», a-t-elle déclaré dans un communiqué de presse. « Cela prendra plus que simplement investir plus d’argent. »

Linda Silas, présidente de la Fédération canadienne des syndicats d’infirmières et d’infirmiers, a déclaré que certains services d’urgence et de soins intensifs qui auraient été dotés de 20 infirmières en comptaient maintenant la moitié.

La législation ontarienne limitant les salaires signifie que de nombreuses infirmières quittent pour travailler pour des agences afin qu’elles aient des horaires flexibles et un choix d’employeurs, ou qu’elles quittent la profession en raison de mauvaises conditions de travail, a déclaré Silas.

« Donc, le message que j’essaie de faire passer aux premiers ministres est : je n’ai jamais, en 30 ans de travail syndical, vu des infirmières aussi en colère. Et c’est un groupe de durs à cuire.

Certains premiers ministres ont indiqué qu’ils se concentreront sur d’autres priorités lors de la réunion.

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