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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Diop, David. Farrar, Straus et Giroux, 2020.
At Night All Blood Is Black se déroule dans les tranchées de l’armée française pendant la Première Guerre mondiale. Diop emmène également les lecteurs à l’arrière, un hôpital mis en place pour les soldats traumatisés par la guerre, et dans le passé jusqu’au petit village de Gandiol en Afrique , où Alfa, le protagoniste, a grandi et a rencontré son meilleur ami, Mademba. Il est narré à la première personne et suit le point de vue d’Alfa et, à la fin du roman, de Mademba, qui ont tous deux grandi à Gandiol et se sont engagés pour défendre la France pendant la guerre. Il s’agit de la mort tragique et laide de Mademba sur le champ de bataille et de la façon dont Alfa tente de venger, de surmonter et finalement de transcender la tragédie de cette mort.
La section 1 du roman s’ouvre sur la mort de Mademba, le meilleur ami d’enfance d’Alfa. Son estomac est ouvert et ses entrailles débordent de son corps. Alors qu’il se tord de douleur, il supplie Alfa de lui trancher la gorge pour mettre fin à l’agonie, mais Alfa vacille par respect pour la loi humaine. Mademba meurt d’une mort lente, douloureuse et indigne, et quand il est finalement décédé, Alfa ramène son corps à la tranchée et reçoit une Croix de Guerre pour son courage. Traumatisé par ce qu’il a vu, Alfa entame un rituel macabre consistant à rechercher des soldats allemands, à leur ouvrir le ventre et à leur trancher la gorge, dans le but à la fois de venger Mademba et de reconstituer ce qui aurait dû être la dernière scène de sa vie. Il leur coupe ensuite les mains et les ramène à sa tranchée.
La section 2 suit Alfa alors qu’il mutile ces soldats allemands. Finalement, ses camarades de tranchées en veulent à son obsession de la mort et de la mutilation, et des rumeurs se répandent qu’Alfa est un soldat sorcier. Jean Baptiste fait exception à cette règle ; il aime jouer avec les mains coupées qu’Alfa ramène et se moquer des Allemands. Il en paie le prix lorsque les Allemands, las de se moquer des mains de leurs camarades morts, lui arrachent la tête.
La section 3 s’ouvre avec Alfa vengeant la mort de Jean-Baptiste et du reste des soldats venant en vouloir à la guerre elle-même, pas simplement à Alfa. Lorsqu’ils refusent d’obéir au sifflet du capitaine Armand, celui-ci leur lie les mains derrière le dos et les oblige à se précipiter hors des tranchées et sur le champ de bataille, sans défense contre les tirs des Allemands. Il ordonne également à Alfa et à ses camarades de tranchée de tuer les soldats qui refusent de lui obéir. Après cette hypocrisie et cette laideur, Alfa reçoit l’ordre d’aller à l’arrière car sa façon de faire la guerre – mutiler les soldats allemands – est hors réglementation. À l’arrière, Alfa s’adoucit et commence à se remémorer son premier amour, Fary Thiam.
La section 4 présente les dessins d’Alfa, les missions qui lui ont été confiées par le docteur François dans le but de guérir son traumatisme et de laver son esprit de la saleté de la guerre. Alfa dessine une photo de sa mère et fait un voyage dans le passé, se remémorant son amour, sa beauté et son éventuel départ. Il dessine ensuite une image de Mademba et fait un autre voyage dans le passé, se souvenant de l’amour et du soutien de Mademba pour lui lorsqu’il a perdu sa mère. Cette section montre aux lecteurs le passé d’Alfa et développe plus complètement son caractère.
La section 5 révèle Alfa entièrement guéri de son passé, enterrant les sept mains et décidant d’avoir des relations sexuelles avec Mademoiselle François, la fille du médecin. Au moment de l’orgasme, Alfa donne son corps à Mademba d’outre-tombe, et Mademba revient à la vie au milieu du sexe, perdant sa virginité avec une femme qu’il ne connaît pas dans un corps qui n’est pas le sien. À la fin du roman, il est clair qu’Alfa et Mademba vivent dans le corps d’Alfa, se fusionnant pour créer un nouvel homme avec une nouvelle vie.
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