La nouvelle politique de l’Alberta sur le traitement des maladies mentales par les drogues psychédéliques : le Canada sera-t-il à la tête de la renaissance psychédélique ?

Des programmes de formation

pour les thérapeutes psychédéliques font leur apparition à travers le Canada, anticipant peut-être un changement de réglementation et la

manque de professionnels formés

prêt à livrer la médecine psychédélique.

À l’heure actuelle, la prochaine génération de recherches scientifiques sur les psychédéliques est toujours à la traîne de l’enthousiasme populaire qui a catapulté ces substances dans le courant dominant.

Témoignages de célébrités

et convaincant

comptes patients

se disputent notre attention.

Pendant ce temps, le fardeau croissant de la maladie mentale continue de

submerger nos systèmes de santé

. Les psychédéliques sont présentés comme une solution potentielle. Mais les champignons magiques ne sont pas des balles magiques.

Au-delà du marché médical

Historiquement, les substances hallucinogènes ont défié la simple catégorisation en tant que médicaments, stimulants spirituels, toxines, substances sacrées, drogues rave, etc. Que Santé Canada ou la province de l’Alberta reclassifie ou non les psychédéliques comme

authentique

option thérapeutique, ces substances psychoactives continueront d’attirer les consommateurs en dehors des milieux cliniques.

Le Canada a l’occasion de prendre une fois de plus la tête de cette soi-disant renaissance psychédélique. Mais ce pourrait être notre chance d’investir dans des solutions plus durables pour réduire les méfaits et des moyens d’inclure les perspectives autochtones, plutôt que de nous précipiter pour pousser les psychédéliques sur le marché médical.

Approches indigènes des plantes sacrées

ne concernent pas seulement la consommation de substances, mais impliquent la préparation, l’intention et l’intégration, souvent structurées dans des cadres rituels qui concernent autant la santé spirituelle que la santé physique ou mentale.

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