La noix de muscade de la consolation Résumé et guide d’étude Description


Jack Aubrey, Stephen Maturin et les autres survivants de l’épave du HMS Diane passent plusieurs semaines en naufragés sur une île sans nom de la mer de Chine méridionale. Ils récupèrent de la nourriture, des outils, des fournitures, du bois et des clous de l’épave et commencent à construire une goélette qui, espèrent-ils, les transportera sur les deux cents milles marins jusqu’à Batavia. Pendant qu’Aubrey supervise les efforts de construction, Maturin chasse le gibier de l’île pour se nourrir. Alors que la goélette commence à prendre forme, l’île est visitée par un petit groupe de marins Dyaks qui expriment beaucoup d’intérêt pour le camp et promettent de transmettre un message à Batavia, demandant des fournitures. Les Dyaks se révèlent cependant traîtres et reviennent avec une énorme force pirate avec l’intention d’assassiner les marins et de voler leurs outils et leurs richesses. Un combat acharné s’ensuit et les hommes d’Aubrey sont victorieux, coulant le grand proa du pirate dans le courant mortel alors que les quelques pirates survivants tentent de s’échapper. Malheureusement pour Aubrey, les pirates brûlent la goélette partiellement achevée ainsi que les autres fournitures et magasins. La situation semble en effet sombre pour les marins britanniques bloqués. Heureusement, en chasse, Maturin tombe sur une jonque chinoise ancrée au large de la rive opposée. Le capitaine chinois embarque les survivants et les transporte sains et saufs jusqu’à Batavia où ils sont reçus par le gouverneur Raffles.

Raffles fournit à Aubrey un navire récemment équipé, le HMS Nutmeg of Consolation de construction néerlandaise, son nom particulier dérivé de la fantaisie d’Aubrey. Aubrey approvisionne le navire et prend la mer avec l’intention de retrouver la frégate française Cornélie. Maturin a obtenu des informations sur le statut et la position probable de Cornélie et, avec l’aide d’un navire de passage, Aubrey localise la frégate française sur l’île de Nil Desperandum. Une attaque surprise contre le plus gros navire français est tentée mais échoue et une longue poursuite nautique s’ensuit, Aubrey entraînant le navire français vers un autre site d’embuscade potentiel. Les tables tournent complètement lorsque Surprise apparaît avec plusieurs consorts. Surprise, sous la direction de Tom Pullings, poursuit Cornélie et le navire français coule et coule. Aubrey reprend alors le commandement du Surprise et, avec Maturin, Nathaniel Martin et Pullings, se dirige vers la Nouvelle-Galles du Sud. Au cours du voyage, Maturin sauve deux filles mélanésiennes de l’île fictive Sweeting’s, elles sont les seules survivantes d’une épidémie de variole.

En Nouvelle-Galles du Sud, Aubrey rénove et réapprovisionne lentement, irrité par l’ampleur de la corruption et des pots-de-vin locaux. Pendant ce temps, Maturin met en colère un scalawag local et mène un duel avec succès. Il apprend que son ami et ancien garçon de lobholly Padeen Colman est emprisonné dans la colonie pénitentiaire et élabore un plan quelque peu élaboré pour l’aider à s’échapper. Pendant cette période, Martin rencontre son vieil ami John Paulton et sollicite son aide pour l’évasion de Colman. À la fin du roman, Surprise termine son réaménagement et se prépare à prendre la mer tandis que Maturin et Martin se rendent à un point de rendez-vous et rencontrent Colman en fuite. En chemin, Maturín aperçoit un ornithorynque et le capture dans le but d’examiner le marsupial exotique. L’animal délivre une piqûre venimeuse à Maturin qui s’effondre. Il est porté à bord par Colman et les circonstances extrêmes apaisent la colère d’Aubrey face à l’arrivée d’un condamné à bord par Maturin. Maturin survit au poison et Surprise s’en va.



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