La maîtresse de la mort (Dorina Basarab, #2) par Karen Chance

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*4.5, vraiment.*

Je suis arrivé à une conclusion.

Karen Chance est incapable de me décevoir.

Ouais, ouais, le premier livre de Cassie a souffert d’une certaine traînée. Mais tout ce que j’ai lu puisque alors a été de l’or pur, et la Maîtresse de la Mort n’est pas différente.

Plus de 400 pages d’action époustouflante, d’émotions sincères, de rebondissements sournois et de beaucoup, beaucoup de sarcasmes… c’est mon genre de livre.

Il y a un peu de tout ici. La politique des vampires et les préoccupations de Fey occupent le devant de la scène. Ce chaos est renforcé par les mystères du meurtre, t

*4.5, vraiment.*

Je suis arrivé à une conclusion.

Karen Chance est incapable de me décevoir.

Ouais, ouais, le premier livre de Cassie a souffert d’une certaine traînée. Mais tout ce que j’ai lu puisque alors a été de l’or pur, et la Maîtresse de la Mort n’est pas différente.

Plus de 400 pages d’action époustouflante, d’émotions sincères, de rebondissements sournois et de beaucoup, beaucoup de sarcasmes… c’est mon genre de livre.

Il y a un peu de tout ici. La politique des vampires et les préoccupations de Fey occupent le devant de la scène. Ce chaos est renforcé par des meurtres mystérieux, des vols, quelques poursuites en voiture et plusieurs têtes roulantes.

Oh, et au milieu de tout ce chaos, Chance toujours parvient à s’intégrer dans un plaisir sensuel et sexy. Louis-Cesare… roawr.

Ce que j’aime le plus dans l’écriture de Chance, c’est sa caractérisation magistrale. Ce ne sont pas que des êtres fictifs. Tout le monde est si bien écrit que revenir dans ce monde était comme retrouver de vieux amis. Chaque personnage, qu’il soit nouveau ou familier, a sa propre voix, ses manières, ses habitudes et sa personnalité. Chacun est unique, et chacun est divertissant.

Et cela ne s’applique pas seulement aux personnages centraux. Dory a beaucoup de contacts louches et ils sont tous mémorables. Avec des personnages de moindre importance, Chance y parvient en inspirant soit le rire, soit la terreur en quelques lignes seulement. Avec les personnages principaux, Chance tisse une toile plus délicate et en couches. Dans Death’s Mistress, elle approfondit leur histoire et approfondit leurs émotions. Elle le fait de telle manière qu’elle répond à certaines de nos questions, tout en nous laissant encore faim. Je m’inquiète même pour les personnages lorsqu’ils sont hors page, ce qui prouve le niveau d’attachement qu’elle crée. Dory, Louis-Cesare, Mircea, Radu, Claire, Ray, Marlowe… soupirent. Je les aime tous.

Bon sang, j’ai même adoré un bébé vamp, un bookmaker, un barman et deux gars appelés Frick and Frack, et ils n’avaient qu’une page ou deux chacun !

À la fin de tout cela, Chance m’a laissé soupirer doucement – content d’une histoire merveilleuse, pourtant désespérément envie du prochain. Comme je l’ai dit, Karen Chance ne déçoit pas.

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