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« The Red-Headed League » est apparu pour la première fois dans un magazine britannique populaire, le Brinen août 1891. Elle fut rééditée en 1892, avec onze autres histoires de Sherlock Holmes, dans la collection Les Aventures de Sherlock Holmes. Son style et sa structure en font un exemple presque parfait du roman policier moderne, conçu pour la première fois par Edgar Allan Poe cinquante ans auparavant. Les intrigues ingénieuses de Doyle et ses personnages centraux captivants, Holmes et son acolyte Watson, ont apporté à l’auteur le succès littéraire à son époque. De plus, les histoires de Sherlock Holmes ont fourni aux écrivains ultérieurs des modèles pour leur propre travail. L’existence des contes policiers populaires d’aujourd’hui, que ce soit sous forme de livres, de films ou d’émissions de télévision, est en grande partie due à l’influence de Doyle.
De nombreux lecteurs aiment comparer leur intelligence à celle de Sherlock Holmes, essayant de voir s’ils peuvent résoudre le mystère avec lui. Il s’agit généralement d’une tâche vouée à l’échec en raison du style narratif à la première personne, dans lequel Watson, l’ami moins intelligent du détective, raconte l’histoire et est aussi étonné que n’importe quel lecteur lorsque le détective révèle sa solution. « La Ligue des Red-Headed », comme les autres romans policiers de Doyle, présente un portrait détaillé du Londres du début du siècle et donne aux lecteurs un aperçu d’une société en mutation rapide. Parmi ces changements figurent des modifications dans la structure des classes, la montée de la Grande-Bretagne en tant que puissance économique mondiale et la croissance urbaine, ainsi qu’une augmentation du taux de criminalité. Alors qu’il tente de restaurer un ordre social menacé par des criminels comme ceux de « La Ligue des Têtes Rouges », Sherlock Holmes incarne les valeurs d’intelligence et de réussite individuelle.
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