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« La Forêt » est le premier poème du recueil La forêt (1995) de la poétesse américaine Susan Stewart ; c’est son quatrième recueil de poèmes. La prémisse de « The Forest » est qu’il n’y a plus de forêts dans le monde, mais la forêt elle-même est aussi une métaphore (l’utilisation d’un objet ou d’une idée à la place d’un autre pour suggérer une ressemblance entre les deux) pour la perte du rapport de l’homme à la nature, que l’orateur du poème tente de retrouver en se souvenant de ce qu’est une forêt.
Comme une grande partie de la poésie de Stewart, « The Forest » présente un défi au lecteur. Le poème est structuré de manière complexe, avec un motif de lignes répétées, comme des images récurrentes dans un rêve. Il fait des allers-retours entre le conscient et l’inconscient ; il ne présente pas un récit direct et linéaire. Son sens ne peut pas être pleinement saisi à la première lecture mais doit être décrypté à travers des rencontres répétées avec le poème. Stewart écrit pour un lecteur actif plutôt que passif, un lecteur qui doit faire l’effort de plonger profondément dans le poème pour discerner l’intention et la signification du poète.
Dans son choix d’une forêt comme métaphore centrale, Stewart touche une veine profonde de l’imaginaire culturel occidental, puisque les forêts ont, au fil des âges, porté une gamme d’associations dans la société et la littérature. Le poème a également une pertinence contemporaine surprenante, car, en raison des exigences toujours croissantes de l’économie mondiale, les forêts du monde disparaissent à un rythme alarmant.
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