La Federal Aviation Administration des États-Unis semble avoir trouvé une solution de contournement pour le Problèmes 5G qui a commencé à vols à impact une Il y’a quelques semaines: Ce vient d’approuver des altimètres supplémentaires qui permettront à environ 90% de la flotte de l’aviation commerciale américaine d’effectuer des atterrissages par faible visibilité dans les aéroports proches des hubs 5G.
Selon Reuter, la FAA a déclaré avoir autorisé sept autres altimètres, portant le nombre total d’altimètres approuvés à 20.
Les radioaltimètres sont utilisés pour donner des données sur la hauteur au-dessus du sol pour les atterrissages d’avions par mauvais temps. Le problème était essentiellement que la FAA et certaines compagnies aériennes craignaient que les avions ne puissent atterrir en toute sécurité dans des conditions de faible visibilité, car les ondes 5G étaient diffusées sur une longueur d’onde radio très similaire.
Plus tôt ce mois-ci, les géants de la communication AT&T et Verizon ont convenu de retarder la mise en place de nouvelles tours de télécommunications à proximité de certains aéroports alors qu’ils les déployaient dans tout le reste du pays. Avant ça, milliers des vols ont été retardés par crainte des compagnies aériennes.
Verizon a accepté de ne pas allumer temporairement environ 500 tours à proximité des aéroports, selon Reuters.
Certaines compagnies aériennes américaines sont encore préoccupé par les projets de Verizon de les transformer le 1er février.
Mardi, la FAA a également publié une consigne de navigabilité sur les Boeing 777 et 747-8. Ce mentionné l’interférence peut avoir un impact sur plusieurs systèmes d’avion utilisant les données du radioaltimètre. Cependant, la directive n’empêche aucune opération dans presque tous les grands aéroports américains.
Mais pourquoi la 5G cause-t-elle toutes ces interférences ? Eh bien, cela revient à les ondes radio — Bande C pour être précis. Les fréquences des altimètres 5G et des compagnies aériennes sont très proches les unes des autres et pourraient théoriquement interférer les unes avec les autres.
Cela a conduit à de nombreux allers-retours entre la FAA, les compagnies aériennes et les entreprises de télécommunications. Seul le temps nous dira si ces nouveaux altimètres ne sont qu’une solution provisoire ou une solution plus permanente à ces problèmes.