La Dordogne ressemble à un portail vers mes étés d’enfance

Dordogne

C’est presque étrange, la similitude entre la Dordogne et mon propre lien avec la France. J’hésite à me présenter trop rapidement comme le personnage principal, mais en parcourant l’heure d’ouverture de cette belle aventure à l’aquarelle, j’ai été frappé par son authenticité, la mesure dans laquelle elle vit et respire les attitudes et le style de vie de son coin de campagne française.

Dordogne suit Mimi, une jeune femme qui n’a presque aucun souvenir de son enfance. Après la mort de sa grand-mère, Mimi se rend chez elle dans la région française titulaire de la Dordogne, cherchant des réponses sur la rupture au centre de la vie de sa famille. Alors que Mimi explore la maison et la campagne environnante, des flashbacks commencent à combler les vides, tissant une douce histoire sur les relations qui nous façonnent.

(Crédit image : Studio JSNQ)

Mais ce n’est ni ce mystère ni les beaux décors peints qui m’ont attiré en Dordogne. Ma grand-mère est française et passe ses étés à environ 30 minutes de la Dordogne dans une région voisine appelée Gironde. Comme la grand-mère de Mimi après la mort de son mari, elle vit dans une grande maison blanche au sommet d’une colline surplombant une vallée fluviale doucement sinueuse. Une cabane à outils particulièrement agrafée et une balançoire suspendue aux arbres à l’extérieur de la maison complètent un fac-similé étonnamment précis de la maison que je connais.

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