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Aperçu de La dame qui aimait les toilettes propres Sommaire:
L’attrait de Sebastian Dangerfield est celui d’un charmant voyou, mais comme l’a souligné le critique William Nelles, il « est aussi un peu snob »; et Donleavy est d’accord avec le point soulevé par William Grant selon lequel Dangerfield est « un conformiste raté plutôt qu’un rebelle romantique ». Les romans de Donleavy franchissent fréquemment une ligne séparant la satire sociale d’une sorte de cynisme ricanant qui donne un avantage caractéristique à son travail, mais rend parfois difficile de se sentir aussi sympathique envers ses protagonistes que l’auteur semble le faire. La dame qui aimait les toilettes propres poursuit la préoccupation de Donleavy pour la nécessité de « faire face aux adversités de la vie avec grâce et style », mais diffère considérablement de la plupart de ses travaux précédents en ce que l’accent narratif, pour la première fois, est une femme. Cette transformation permet à Donleavy de reconsidérer certaines de ses approbations implicites du comportement de ses protagonistes masculins, puis d’aller…
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