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La Conquête des Gaules par Jules César est le récit, en huit livres, des campagnes menées par Jules César, consul romain et gouverneur de la Gaule transalpine, dans la période de 58 avant JC à 51 avant JC. Ces campagnes ont été menées par les légions romaines sous sa direction pour réprimer les rébellions qui ont surgi parmi les tribus gauloises dans la région de ce qui est aujourd’hui la France et la Belgique. Il a également mené deux invasions de la Grande-Bretagne et l’armée romaine a traversé le Rhin à deux reprises dans le but d’atténuer la pression des tribus allemandes, qui ont constamment essayé d’envahir la Gaule pour conquérir les tribus gauloises les plus faibles.
Les huit années de guerre et de batailles sont décrites en détail. Ils donnent une image complète du fonctionnement des légions romaines et de la façon dont leurs différents adversaires leur font la guerre. Le lecteur, suivant les récits des différentes campagnes, parcourt les territoires des différents peuples et tribus qui occupent la grande Gaule au siècle avant Jésus-Christ. Les personnalités des différents dirigeants et leurs déclarations publiques, données lorsqu’ils défient les envahisseurs romains et lorsqu’ils demandent la paix, sont révélés dans des portraits convaincants des dirigeants individuels de cette époque.
Les campagnes vont des territoires des Helvetii à côté des montagnes du Jura, aux Sequani dans le centre de la Gaule, aux tribus côtières de la mer du Nord, au sud de la Bretagne et aux peuples côtiers uniques, les Vénétie, dans ce qui est aujourd’hui la Bretagne, qui résistent aux Romains avec leur forme unique de guerre côtière.
César raconte comment les légions, avec leur technologie supérieure d’ouvrages de siège et de retranchements, sont capables de vaincre même les forteresses les mieux défendues des Gaulois. Mais même ainsi, ses récits détaillent plusieurs revers de fortune majeurs pour ses armées lorsque, par exemple, la 14e Légion sous Sabinus est complètement anéantie par les Eburons, et comment ce n’est que par des marches forcées et une intervention rapide de César en personne sur le champ de bataille. que les légions sont sauvées d’un sort similaire lorsque les Nerviens montent leurs attaques meurtrières.
La duplicité imaginative des Gaulois est bien décrite dans leurs efforts pour tromper les Romains à divers moments, et les ruses tout aussi sophistiquées employées par les généraux romains pour déjouer l’ennemi beaucoup plus nombreux sont toutes décrites dans des détails fascinants. En fin de compte, le point culminant de toutes les rébellions arrive au siège et à la capture de la forteresse de Vercingétorix d’Alésia, lorsque l’armée romaine assiégeante est, elle-même, encerclée par les forces de Commius. Les récits graphiques détaillés de la lutte qui s’ensuivit et de la victoire finale de César et de ses troupes doivent rester l’un des grands classiques de l’histoire de la guerre.
Bien qu’il y ait des éléments de propagande et d’auto-justification dans les récits de César, qui sont destinés à être lus par le Sénat et les citoyens de Rome, ces livres occupent une place unique et irremplaçable dans l’histoire du monde occidental.
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