lundi, novembre 25, 2024

La compétition du Festival du film de Busan présente le premier long métrage de Mori Tatsuya et le trio Exploration of Hong Kong et Bangladesh de Choi Ji. Les plus populaires sont à lire absolument Abonnez-vous aux newsletters variées Plus de nos marques

La section principale de la compétition du Festival international du film de Busan présentera deux nouveaux longs métrages de réalisateurs bangladais, le premier long métrage du documentariste japonais Mori Tatsuya et les réflexions sur Hong Kong du réalisateur chinois Choi Ji.

Le festival a dévoilé mercredi sa section compétition Nouveaux courants, réservée aux films de réalisateurs réalisant leur première ou deuxième œuvre de fiction, ainsi que sa section Jiseok, vitrine d’auteurs asiatiques un peu plus confirmés.

En plus du duo bangladais, New Currents comprend deux films du Japon, deux de Corée et un de Chine, un de Thaïlande, un de Malaisie et un d’Inde.

Du Bangladesh, « The Wrestler » d’Iqbal H. Chowdhury voit un vieux pêcheur défier un champion de lutte au combat, et dans « The Stranger », Biplob Sarkar raconte une histoire de passage à l’âge adulte et d’identité de genre.

Depuis le Japon, Mori raconte les événements du grand tremblement de terre de Kanto en « septembre 1923 », tandis que Yamamoto Akira plonge dans un amour profond et choquant dans « After the Fever ».

Les contributions coréennes de New Currents proviennent de Lee Jong-su, dont « Heritage » suit un homme qui a renoncé au service militaire et son superviseur, et de Sohn Hyun-lok, dont « That Summer’s Lie » brouille vérité et fiction dans les souvenirs d’un passé. romance.

L’Indien Rajesh S. Jala (« Les Enfants du bûcher ») est un autre documentariste devenu cinéaste de fiction et présentera son « The Spark ». « Borrowed Time » de Choy présente un mélange fluide de passé, de présent, de réalité et de fantaisie tandis qu’un protagoniste se promène à Hong Kong.

Le Thaïlandais Patiparn Boontarig, précédemment AD sur le film primé « Manta Ray », passe à la vitesse supérieure avec « Solids by the Seashore ». « Oasis of Now », de la société malaisienne Chia Chee Sum, qui faisait auparavant partie de l’Asian Film Academy de Busan, raconte l’histoire d’une jeune fille qui ne peut pas révéler son identité. Le film a été développé dans le laboratoire SEAFIC, aujourd’hui disparu.

La section Jiseok, du nom de l’ancien directeur du programme de Busan, Kim Jiseok, décernera des prix à deux des dix films sélectionnés.

En compétition : « Ichiko » de Toda Akihiro, dans lequel une autre femme est obligée de cacher son identité ; « The Moon » d’Ishii Yuya, un drame sur la santé mentale avec Miyazawa Rie et Odagiri Joe.

La vétéran sri-lankaise Prasanna Vithanaga présente une histoire de malentendus politiques, sociétaux et émotionnels dans « Paradise », tandis que Mostofa Sarwar Farooki et Nusrat Imrose Tisha présentent le troisième film du festival en provenance du Bangladesh. Leur co-écrit « Something Like an Autobiography » voit le couple réel brouiller les frontières entre réalité et fiction.

Le réalisateur kirghiz Mirlan Abdykalkov (« Courir vers le ciel ») livre une histoire poignante et réelle dans « Bride Kidnapping ». Le Nontawat Numbenchapol de Thaïlande examine les dessous de Chiang Mai dans « Doi Boi ». L’auteur indonésien Yosep Anggi Noen livre « 24 Hours With Gaspar ». Et le vétéran philippin Brillante Mendoza partage le drame tragique « Moro ».

Deux films coréens complètent la section : « Blesser » de Lee Sangcheol est l’histoire sincère d’un ancien journaliste élevant un enfant handicapé ; tandis qu’Ahn Sunkyeong (« Pascha ») examine le processus de réalisation d’un film dans « À la fin du film ».

Le festival de Busan se déroule du 4 au 13 octobre. Ses marchés associés se déroulent du 7 au 10 octobre.

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