La chanson de minuit de Kestrel par JR Parker


Quand j’ai eu la chance de pré-lire et de revoir la chanson de minuit de Kestrel de JR Parker, j’ai sauté sur l’occasion. Il se décrit comme étant un roman d’aventures pour les jeunes lecteurs, mais semble être plus sur le voyage que sur le but ultime. Les personnages étaient un groupe hétéroclite et pouvaient ressentir une bouillie irrationnelle de l’époque.
Le héros n’est qu’un humble berger, son seul but est de se rendre au palais pour livrer ses moutons au tisserand du roi. Micah entreprend son voyage sans se rendre compte de la flûte, des Maraudeurs ou de son propre rôle dans une conspiration aux proportions épiques. James Kestrel, haut capitaine des Maraudeurs, doit être pendu et lui seul connaît l’emplacement de la mystérieuse flûte de Caelum. Objet de pouvoir si puissant que son propriétaire pourrait semer la destruction dans le monde, la flûte est très recherchée par tout le monde, des Maraudeurs aux simples voleurs. C’est à Micah, à la fille de la taverne Robbyn et au géant Drift de découvrir et d’arrêter le complot des Maraudeurs.
Micah est soit courageux et dévoué à sa mission et à ses brebis, soit plutôt terne et poussé par la peur de son maître et du monde qui l’entoure. Tout son voyage avant de rencontrer Robbyn et Drift semblait consister à prendre soin de ses moutons et à trébucher dans des ennuis après ennuis. Beaucoup de ses manières et comportements sont héroïques, mais dans les situations dans lesquelles il se trouve, il semble tout simplement téméraire. Robbyn et Drift semblent être écrits plus comme deux moitiés du même caractère que comme deux êtres séparés. Robbyn est le leader, le cerveau et les émotions. Elle dirige les actions de Drift dans une large mesure, mais doit être secourue régulièrement, apparemment pour maintenir un sens de l’action dans le roman. La dérive fournit les muscles du couple, il est l’impulsion, la force et la volonté pure. Il tire le long des scènes d’action que Micah ne peut pas gagner avec esprit. Les trois vont bien ensemble, mais manquent de la cohésion de beaucoup d’autres fêtes fantastiques.
L’écriture était presque poétique dans certaines parties, mais guindée et plate dans d’autres. Plusieurs points de dialogue ont été tapés de telle manière que le personnage ne parlait pas. Tout le monde semblait hurler des lignes, même des personnages physiquement petits qui ne devraient pas avoir la voix pour cela. Mon plus gros problème était probablement qu’à une centaine de pages de la fin, tout le monde a soudainement eu la religion. Il n’y avait pas eu de préparation à son inclusion, et il se sentait mal à l’aise après son introduction. L’utilisation de la religion semblait être là plus pour conclure la fin que pour donner un vrai message. Compte tenu des problèmes que j’ai eus en le lisant, je peux quand même honnêtement dire que j’ai passé un bon moment à le lire. Je le suggérerais probablement à un public plus jeune que moi, et à ceux qui aiment la fantaisie douce avec une touche de noir.



Source link