Bénéfices largement alimentés par la croissance des segments bancaires internationaux et canadiens
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La Banque de Nouvelle-Écosse a vu son bénéfice net bondir par rapport à l’an dernier pour atteindre 2,59 milliards de dollars au troisième trimestre, en grande partie alimenté par la croissance de ses segments bancaires internationaux et canadiens. Malgré la croissance, la banque canadienne a renforcé ses provisions pour pertes sur créances.
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Le bénéfice ajusté a augmenté de 4 % d’une année sur l’autre pour atteindre 2,10 $ par action au cours des trois mois se terminant le 31 juillet. Les analystes s’attendaient à 2,11 $ par action. Alors que les bénéfices ont légèrement augmenté depuis la même période l’an dernier, ils ont chuté d’un trimestre à l’autre par rapport aux 2,76 milliards de dollars enregistrés au cours des trois mois se terminant le 30 avril.
Cependant, le segment des services bancaires mondiaux et des marchés des capitaux de la banque a chuté de 26% à 378 millions de dollars, les turbulences sur les marchés mondiaux ayant affecté les revenus.
« Le trimestre a vu (le bénéfice par action) une croissance de 4% et un rendement des capitaux propres de 15,4% », a déclaré le chef de la direction de la Banque Scotia, Brian Porter, dans un communiqué. communiqué de presse accompagnant les résultats. « La solide qualité du crédit, tout en augmentant le portefeuille de prêts dans toutes les lignes d’activité, la gestion prudente des dépenses et la résilience des clients ont été des points positifs dans le contexte d’un environnement macroéconomique plus difficile ce trimestre. »