Kitchener-Waterloo mène la baisse des prix de l’immobilier au Canada (rapport)

Une analyse de 21 principaux marchés immobiliers canadiens révèle que seulement trois régions ont évité une baisse des prix depuis le sommet du marché en juin 2023.

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Une analyse de 21 principaux marchés immobiliers au Canada a révélé que seules trois régions n’ont pas connu de baisse de prix depuis que le marché immobilier canadien a atteint son apogée en juin 2023.

À cette époque, le prix de référence national était de 760 600 $, avant qu’une tendance à la baisse ne s’installe sur la plupart des principaux marchés du Canada au cours des cinq mois suivants.

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La société immobilière Zoocasa a publié un analyse Cette semaine, nous avons comparé les données de référence sur les prix de l’Association canadienne de l’immeuble (ACI) et avons constaté que seuls trois marchés — Calgary, St. John’s et Saint John — n’avaient pas connu de baisse des prix.

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La plus forte baisse a été enregistrée à Kitchener-Waterloo, où les prix ont diminué de 8,9 pour cent depuis juin pour atteindre 708 600 $.

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D’autres villes de l’Ontario, notamment London, St. Thomas et Hamilton-Burlington, ont vu les prix de référence chuter de plus de 7 pour cent depuis juin, tandis que les principaux marchés comme Toronto, Vancouver, Ottawa et Winnipeg ont également connu des baisses de prix depuis l’été.

Dans la région du Grand Toronto, les prix ont chuté de 7,7 pour cent depuis juin et de 0,1 pour cent par rapport à l’année précédente, tandis que Guelph a enregistré une baisse de 6,6 pour cent depuis juin.

Même si le marché se refroidit généralement en hiver, la hausse des coûts d’emprunt est probablement également un facteur contributif. Les ajustements de prix ont rapproché le marché des niveaux d’avant la pandémie.

Parmi les trois marchés qui ont enregistré une croissance depuis juin, Calgary a connu la plus forte augmentation, soit 1,7 pour cent, suivie de St. John’s (1,5 pour cent) et de Saint John (0,1 pour cent).

La baisse sur la majorité des marchés a été la plus significative pour les maisons unifamiliales. Même si les prix des copropriétés ont chuté dans certains marchés, notamment à Kitchener-Waterloo et dans la région du Grand Toronto, ils sont restés largement stables et ont même augmenté dans d’autres.

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La plus forte croissance a été enregistrée à Saint John et à St. John’s, où les prix des copropriétés ont bondi de 12,9 pour cent et de 7,4 pour cent depuis juin. Calgary et Halifax-Dartmouth ont également enregistré une croissance des prix d’une année à l’autre de 16 pour cent et 13,8 pour cent.

Dans l’ensemble, l’analyse est conforme à d’autres rapports qui ont noté une situation inégale mais générale marché du centre ville en 2023 en fonction du volume des ventes.

Montréal, par exemple, a enregistré une baisse cumulée des ventes de logements de plus de 14 pour cent par rapport à l’année précédente, sa plus forte baisse depuis 2000.

Toronto et Calgary ont également connu d’importantes baisses du volume des ventes tout au long de l’année, même si les ventes ont légèrement rebondi en décembre. Toronto a enregistré une augmentation des ventes de plus de 11 pour cent par rapport au même mois de l’année précédente, tandis que Calgary a vu ses ventes augmenter de 13,8 pour cent en décembre, malgré une baisse globale de 8 pour cent par rapport à 2022.

La chaleur record de décembre a peut-être contribué à la hausse des ventes, ainsi qu’à une baisse des taux hypothécaires vers la fin de l’année, le taux fixe sur cinq ans le plus bas disponible étant tombé à 5,4 pour cent.

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Même si certains économistes estiment que les prix de l’immobilier pourraient se stabiliser d’ici mars, la croissance marginale de l’emploi enregistrée en décembre, associée à l’impact potentiel des augmentations de salaires sur les futures baisses des taux d’intérêt, amène d’autres à prédire de nouveaux défis à venir. Ces défis incluent un risque croissant d’insolvabilité, qui a désormais dépassé les niveaux d’avant la pandémie.

Cette tendance est largement attribuée à l’endettement croissant des ménages, à l’inflation et aux taux d’intérêt élevés. Les effets sont particulièrement aigus en Ontario, en Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba.

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