Killing Floor (Jack Reacher, #1) par Lee Child


Jack Reach est une marche, qui parle, 6’5″ laxatif sur ordonnance garanti de provoquer salauds à sol leur skivvies. Comme protagonistes durs à cuire allez, ce gars est chargé avec impressionnant et j’étais bel et bien conquis par la fin du premier roman de Lee Child.

Reacher est un ancien officier de police militaire qui est concombre frais et se porte avec un calme, tranquille stoïcisme ça m’a beaucoup rappelé Ombre de Neil Gaiman Dieux américains(un autre de mes personnages préférés). En fa cuit dur typique

Jack Reach est une marche, qui parle, 6’5″ laxatif sur ordonnance garanti de provoquer salauds à sol leur skivvies. Comme protagonistes endurcis allez, ce gars est chargé avec impressionnant et j’étais bel et bien conquis par la fin du premier roman de Lee Child.

Reacher est un ancien officier de police militaire qui est concombre frais et se porte avec un calme, tranquille stoïcisme ça m’a beaucoup rappelé Ombre de Neil Gaiman Dieux américains(un autre de mes personnages préférés). D’une manière typique et dure, la narration de Jack des événements du livre est en sourdine et presque détachée. Ce ton émotionnellement retenu est utilisé même lorsqu’il décrit des scènes de carnage macabre et sanglant dont ce livre a beaucoup.

Il garde ses sentiments sous contrôle et ne se déphase pas facilement, même lorsqu’il est dégueulasse les douches s’efforcer intentionnellement de se travailler sous sa peau. Cela dit, quand le moment est venu et que Jack doit rassembler sa faucheuse intérieure contre les taches humaines qui lui ont fait du tort et à son… l’homme est-il jamais g-putain de-O temps.

Ce gars peut travailler avec les meilleurs d’entre eux.

RÉSUMÉ DE L’INTRIGUE:

Depuis qu’il a quitté l’armée, Jack fait le « Kung Fu » vagabond/errant à travers les États-Unis d’A. Lorsqu’il arrive à un point sur la carte appelé Margrave, Géorgie, il se retrouve immédiatement arrêté pour meurtre. Il semble qu’un homme se soit fait enlever la tête avec un coup de fusil de chasse et Reacher se retrouve comme le principal suspect.

Alors après un mouvementé week-end en prison au cours duquel il redécore les visages et les silhouettes d’une poignée de détenus, Jack sort enfin de prison. À ce stade, l’histoire prend une tournure dramatique «vous devez suspendre votre incrédulité» lorsque le récent meurtre finit par avoir un lien très personnel avec Reacher. De plus, le meurtre semble n’être qu’une infime partie d’un complot massif impliquant toute la ville et le nombre de morts commence rapidement à augmenter.

Jouez.

De là, notre sac géant de cogner la tête écrasante devient un seul homme Sherlock Schwarzenegger** et procède à la recherche d’indices, rassemble des preuves et libère un lot de récupération de la force industrielle sur toute une ribambelle de méchants.

** Il s’agit du début d’Arnold et non du dernier modèle fourni avec des seins d’homme.

Jeu terminé.

LES PENSÉES:

Comme vous pouvez probablement le déduire de ce qui précède, je pense que Jack Reacher est à peu près L’HOMME. Ce que j’ai le plus aimé, c’est qu’aussi gros et fort qu’il soit, ce n’est pas une simple cosse musclée avec un câblage basse tension à l’étage. Il est intelligent, astucieux et a le don de passer au crible et de digérer les informations tout en réfléchissant à la fois tactiquement et stratégiquement. C’est le package complet, un grand anti-héros intelligent qui sait comment faire le travail et qui a suffisamment d’humanité en lui pour vous donner envie de l’emporter.

Toutefois….

Maintenant que j’ai bavé partout dans cette revue, j’en ai une gros reproche et c’est une sorte de big’un. En termes simples, l’écriture était douloureusement mauvaise. La prose est plus rigide que la rigor mortis et le dialogue a été agrémenté de plus de « il dit » et de « elle dit » qu’une séance de potins hollywoodiens.

Pendant une grande partie de la première moitié du livre, c’était presque rebutant et m’a grandement distrait de l’histoire. Je pensais avoir frappé avec ce livre et je n’avais pas hâte de faire ma critique car beaucoup de mes amis l’ont aimé.

Mais, au fil du temps, au fur et à mesure que le nombre de corps augmentait, que les enjeux augmentaient et que le quotient de badass de Reacher approchait du statut épique, je me suis retrouvé beaucoup plus indulgent envers la prose simple, « connectez les points » et le dialogue maladroit et j’ai réalisé que j’avais été aspiré tête baissée dans le récit. À partir de là et jusqu’à la conclusion, j’étais pleinement à bord.

C’était comme un mini miracle de Noël.

Je suis tombé directement dans le mystère central qui était frais et unique et qui valait plus que le prix d’entrée pour moi (malgré quelques éléments de l’intrigue farfelus). Quand vous ajoutez à cela mon de plus en plus bromantique lien avec Reacher et son « Billy Jack contre les méchants citadins one man army », j’étais dans une action dure Gagaville m’aimer une histoire.

Et ainsi….

Dans l’ensemble, un grand personnage principal et une histoire centrale intéressante ont compensé une prose moins que stellaire et j’ai fini par aimer fermement ce conte. Je vais certainement jeter un œil au prochain conte de cette série car j’imagine que l’écriture ne fera que s’améliorer et que le reste devrait rester au moins aussi bon.

3,0 étoiles. Conseillé.



Source link