dimanche, janvier 19, 2025

Keir Starmer : Inspire-toi de Donald Trump pour placer notre pays au sommet

Le mandat de Donald Trump offre des leçons au Royaume-Uni, notamment l’importance de prioriser les intérêts nationaux. Alors que Trump favorise l’augmentation de la production énergétique, le Parti travailliste semble se concentrer sur des politiques de Net Zéro, négligeant des enjeux cruciaux. Les questions de sécurité et de prospérité britanniques sont mises de côté au profit de débats sur des compensations historiques. Parallèlement, la BBC fait des choix de remplaçants contestés pour Match Of The Day, et une anecdote amusante émerge d’un couple ayant nommé leur fils Lucifer.

Leçons à tirer du mandat de Trump pour le Royaume-Uni

Demain, les États-Unis prêteront serment à leur 47e président, et peu importe les incertitudes qu’un deuxième mandat de Donald Trump pourrait engendrer, ce sera une occasion d’apprentissage pour le Premier ministre britannique. La leçon principale ? Mettre son propre peuple en priorité.

La seule certitude concernant le second mandat de Trump est qu’il agira sans hésitation pour défendre les intérêts de sa nation. Pourquoi Keir Starmer ne pourrait-il pas faire de même ? Trump se concentre sur l’augmentation de la production de pétrole et de gaz pour stimuler la croissance économique des États-Unis. En revanche, le Royaume-Uni, qui ne contribue qu’à un pour cent des émissions mondiales, semble engagé dans un auto-sabotage national en poursuivant des politiques de Net Zéro, sans tenir compte des conséquences sur les factures d’énergie ou la sécurité énergétique.

Les priorités du Parti travailliste

Trump prône l’idée de « forer, bébé, forer » pour assurer la prospérité américaine, tandis que le Parti travailliste continue sa croisade pour le Net Zéro, prétendant vouloir sauver la planète. Cette dynamique crée un contraste frappant : tandis que Trump annule les interdictions de forage en mer, le gouvernement britannique s’attaque aux industries traditionnelles, comme le pétrole et le gaz, au nom d’une idéologie qui semble éloignée des intérêts nationaux.

En ce qui concerne des questions comme les réparations pour l’esclavage, David Lammy, qui avant de devenir secrétaire aux affaires étrangères plaidait pour que le Royaume-Uni paye des compensations, semble désormais faire marche arrière. Comment peut-il croire que des gens qui n’ont jamais été propriétaires d’esclaves doivent de l’argent à ceux qui n’ont jamais été esclaves ? Cela illustre un manque de priorité pour les intérêts britanniques.

Le Parti travailliste semble négliger des questions essentielles comme l’expulsion de criminels comme Qari Abdul Rauf, condamné pour des crimes sexuels, qui reste au Royaume-Uni malgré un ordre d’expulsion. Au lieu de cela, le Parti travailliste souhaite octroyer des milliards à des pays comme Maurice ou retourner des trésors nationaux comme les marbres d’Elgin, ce qui soulève des questions sur les véritables priorités de ce gouvernement.

Il est temps que le Parti travailliste mette la Grande-Bretagne en premier. Keir Starmer doit arrêter de privilégier les concepts de « droits humains » au détriment de la sécurité et de la prospérité britannique. Les citoyens britanniques méritent avant tout un gouvernement qui pense à leurs intérêts, à l’image de ce que Trump fait pour l’Amérique.

Un remplacement manqué pour Match Of The Day

Dans le monde du football, Kelly Cates, Mark Chapman et Gabby Logan viennent d’être confirmés comme les nouveaux présentateurs de Match Of The Day, une émission emblématique de la BBC. Bien que cela soit une bonne nouvelle pour eux, la BBC a raté une occasion historique de remplacer Gary Lineker par Alan Shearer, l’homme qui a également pris sa place comme buteur de l’Angleterre.

Cette décision de la BBC soulève des interrogations sur les choix de remplaçants au sein d’une émission qui a marqué des générations. En effet, peu importe qui remplace Lineker, les téléspectateurs continueront à suivre l’émission, mais il est indéniable qu’Alan Shearer aurait été le choix idéal pour cet héritage.

Enfin, une histoire amusante vient de Redcar, où un couple a nommé leur fils Lucifer, rappelant l’époque où David Bowie avait nommé son fils Zowie. Comme Zowie, qui a finalement préféré le nom Joe, Lucifer pourrait aussi choisir un nom plus conventionnel à l’avenir.

- Advertisement -

Latest