lundi, décembre 23, 2024

Kehlani revient avec une image puissante de WOC Joy

ENFER OUI : Kehlani, « Little Story » – Quel que soit le livre de contes dans lequel l’histoire de Kehlani est écrite, je veux le lire. Ce que j’aime dans la scène d’ouverture de « Little Story » autodirigée de Kehlani, ce sont les différentes femmes de couleur qui lisent des livres et la phrase « Nous avons une sacrée histoire/Tu es un sacré auteur/Je jure que je » Je te laisserai à l’autel / Travailler à être plus doux. Une tâche si banale, mais une image puissante de la joie du WOC. Cette ligne, comme une fenêtre sur mon propre journal, m’a fait me sentir vue, surtout en tant que femme noire qui espère également transmettre un bel héritage aux générations futures. La juxtaposition de dur et de doux – les robes blanches fluides, les fleurs et le vent, mélangées à la veste en cuir noir, aux escaliers en métal et au feu – me fait savoir que Kehlani comprend. Le message : Nous, les femmes, sommes si complexes et multiformes. La guitare électrique et le violon ressemblaient à une berceuse apaisante, que ce soit pour elle-même, pour un amant ou pour son enfant. C’est vraiment la joie du POC pour moi. Je vais certainement le rejouer encore et encore. —Khalisa Rae Thompson


Je ne vois pas pourquoi : Tyga et Doja Cat, « Freaky Deaky » – Ce duo d’écoute néo-facile entre Tyga et Doja Cat, au minimum, rappelle à quel point le sexe est rarement décrit comme ludique dans la musique pop. Il n’y a rien de plus léger que de se référer à l’excitation comme « se sentir bizarrement bizarre! » Voici une piste pétillante – l’image d’un « bop » – qui fonctionne malgré l’inadéquation plutôt flagrante des partenaires à portée de main. Doja roucoule le crochet et rappe un couplet, tandis que l’effet de la prestation chantée de Tyga est monotone malgré lui. Elle fait tout le boulot ici ! —Rich Juzwiak


Y : Leikeli47, « BITM » – Le rappeur basé à Brooklyn Leikeli47 adopte une livraison cool sur un rythme house maussade et squelettique pour « BITM », qui signifie « Bitch, I’m the Man ». C’est une piste lisse d’assassin silencieux. La vidéo présente des images d’un récent spectacle de Brooklyn, ainsi que du OTA Ball. Cela montre que « BITM » est adapté pour la piste… et au-delà. —RJ


N: Lucky Daye avec Lil Durk, « NWA » – J’étais bon jusqu’au couplet de Lil Durk :

Je veux que mes chiennes brillent, je ne mens pas

Ils ne me font pas perdre mon temps

Double tasse de glace, je ne bois pas de vin

Bitches je baise seulement fumer de l’herbe, pas de lignes

Salopes je baise par derrière, seulement dans la colonne vertébrale

Elle m’a dit qu’elle prendrait mon argent, elle est Gémeaux

Elle a un fétiche (Elle a un gros)

Je pourrais comprendre pourquoi ces négros deviennent jaloux

100K cash dans le magasin parce que je l’ai laissée

Je viens d’acheter un sac Birkin vert, couleur relish (Vert)

Une chienne de haut niveau trop grosse pour faire une télé (trop grosse)

Je suis allé trop loin, elle tenait son ventre

J’aime faire l’amour, quand je me retire, je ne le sens pas

Elle veut faire le noeud, puis lui dire que je suis prêt

Ce n’est pas « Candy Drip », mais je veux dire, nous aimons Lucky Daye parce qu’il est le créateur d’ambiance ultime. Son dernier single, « NWA », n’est rien de moins qu’une ambiance. Ce que j’entends dire par Daye, c’est qu’il essaie juste de se détendre, de sortir et de se détendre le week-end, et ici, les gens viennent tuer l’ambiance. Eh bien, c’est ce que j’ai ressenti lorsque le couplet de Lil Durk a tourné le coin et a crié des pneus lors de la fête que Daye et moi avions. Rien de pire que d’entendre un bop et de devoir ensuite arrêter de secouer la tête parce que le couplet est plein de misogynoir. C’est un non de ma part, mec. —KRT

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