Juste au moment où vous pensez que la prison impériale d’Andor ne peut pas être pire, l’épisode 9 fait monter les enchères

Juste au moment où vous pensez que la prison impériale d'Andor ne peut pas être pire, l'épisode 9 fait monter les enchères

L’épisode 8 a souligné comment le complexe pénitentiaire de l’Empire est spécifiquement conçu pour réduire les détenus en rouages ​​dans une machine capitaliste, où il n’y a pas de place pour l’espoir ou la rébellion. Malgré ces chances impossibles, Cassian tente de trouver des failles dans le système et remarque que les gardes sont les plus faibles tout en amenant un nouvel homme aux niveaux de travail. Après une observation attentive, Cassian se rend compte que les ascenseurs ne sont pas chargés électriquement, ce qui leur accorde une fenêtre d’évasion extrêmement étroite. Comme il est trop tôt pour élaborer un véritable plan d’évacuation, Cassian continue d’observer minutieusement ce qui l’entoure.

Pendant ce temps, la rumeur sur le niveau 2 commence à circuler, ce qui provoque un émoi parmi les détenus des autres niveaux. Alors que Cassian et Taga (Tom Reed) veulent en savoir plus sur la situation, Kino Loy (Andy Serkis) insiste sur le fait qu’ils n’ont aucune raison de s’inquiéter d’une rumeur qui pourrait ou non être vraie. Malgré son attitude d’acier, Loy semble visiblement ébranlé par ce nouveau développement, car il met en péril son espoir d’être enfin libre. Avec encore 217 quarts de travail à faire, Loy ne veut pas abandonner cet espoir, c’est pourquoi il met fin aux questions de Cassian sur le nombre de gardes présents à chaque niveau.

Cependant, après un incident tragique avec Ulaf (Christopher Fairbank), Cassian et Loy apprennent la vérité sur l’incident de niveau 2. Après qu’un détenu ait purgé sa peine et ait été libéré, les gardiens l’avaient accidentellement placé au même niveau par erreur. Craignant que cela ne déclenche une rébellion, les gardes ont grillé tous les détenus du niveau 2. Aucun d’entre eux n’a jamais eu la chance d’échapper à l’enfer : l’illusion de la liberté et l’espoir qui l’accompagne ont finalement été brisés.

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