vendredi, novembre 22, 2024

Journées barbares

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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Finnegan, William. Jours barbares : une vie de surf. Maison aléatoire de pingouin, 2015.

Dans ces mémoires, Finnegan décrit une vie passée à chercher des vagues et à se chercher lui-même. Il divise ses mémoires en chapitres qui décrivent différentes époques de sa vie et son approche du surf à cette époque. Le livre commence à Honolulu en 1966, lorsque la famille de Finnegan déménage à Hawaï pour le travail de son père. Puis en huitième année, le jeune Finnegan affronte les vagues locales qui alimentent son obsession du surf et repousse les intimidateurs tout en développant une plus grande indépendance par rapport à sa famille. Il décrit ensuite son éducation obsédée par l’océan en Californie à partir de 1956, alors qu’il avait quatre ans. Ses parents étaient des producteurs de télévision et de cinéma et des libéraux amoureux de la mer qui l’ont encouragé à se consacrer à des causes socialement conscientes. Il décrit ensuite avoir 16 ans en 1968 en Californie, lorsque les surfeurs étaient considérés comme des parias et que même son ami qui jouait dans l’équipe de football abandonnait l’équipe pour surfer.

Finnegan détaille ensuite son séjour à Hawaï en 1971, lorsqu’il a abandonné ses études à l’Université de Californie et à Santa Cruz pour surfer et vivre avec sa petite amie de l’époque, avec qui il a eu une rupture douloureuse après qu’elle ait avorté et qu’elle ait découvert qu’elle était accro au LSD. père en Californie. Il abandonne plus tard un travail bien rémunéré sur le chemin de fer pour voyager avec un collègue écrivain, Bryan Di Salvatore, dans le Pacifique Sud en 1978. Il trouve la vague parfaite et un spot édénique aux Fidji, mais se lasse de ses voyages lorsqu’il est aux Fidji. L’Indonésie a du mal à vouloir retourner aux États-Unis, mais pense qu’il doit d’abord terminer son roman inachevé. En Afrique du Sud, il trouve un but en travaillant dans une école noire et décide d’écrire un livre sur le pays sous l’apartheid.

Il décrit ensuite ses années à San Francisco, où il se prépare au froid et aux grosses vagues et vit avec sa petite amie Caroline (qui deviendra plus tard sa femme). Il rencontre un personnage local nommé Mark Renneker, qui combine surf obsessionnel et médecine familiale et qui fait l’objet d’un article de Finnegan paru dans le New Yorker. Après s’être installé à New York, Finnegan continue de surfer avec d’autres obsessionnels et, bien qu’il soit père, de pratiquer l’insouciance qui a longtemps défini son approche du surf et du reportage. Il passe plusieurs hivers à surfer à Madère avant que celle-ci ne devienne trop construite et que les vagues ne soient détruites, puis il trouve du bon surf près de chez lui à Long Island et dans le New Jersey. A chaque étape de sa vie, il est à la fois philosophe et obsédé par le surf et, même si son style et ses planches changent au fil des années en fonction des vagues, de son âge et de ses exigences, il ne perd jamais son envie de trouver la vague parfaite.

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